« 100 moyens sûrs d'aider votre couple »
"La rigueur de l'analyse, le choc des idées,
la force des solutions..." T. Stanton (Today's News)

Vous verrez, ce livre rafraîchissant vous fera envisager votre relation d'un œil neuf. COMMANDEZ-LE maintenant : vous donnerez un second souffle à votre vie de couple !

Ce livre électronique vous révélera un large éventail de solutions logiques, simples, concrètes, faciles à appliquer au quotidien et surtout efficaces, pour 'booster' votre vie de couple, - dans tous les domaines. Revivre avec votre aimé(e) la passion, l'enthousiasme et le romantisme de vos premiers rendez-vous est aussi à votre portée.
Informez-vous, "ça ne mange pas de pain" et ça vaut le détour !

Problème : « Comment puis-je lui dire que j'ai envie de lui ? Chez nous, en Mauritanie, les femmes ne peuvent pas parler de sexe à leur mari, ça ne se fait pas. C'est mon problème ! » Houley (Mauritanie)

Il vous appartient de contourner ce faux problème 'avec grâce et élégance', en le provoquant discrètement, en venant lui coller un baiser très tendre, quand il ne s'y attend pas, en portant des vêtements ou sous-vêtements suggestifs… Mais SURTOUT EN OSANT COMMUNIQUER avec lui !
Qu'en avez-vous à faire de "ce qui se fait ou ne se fait pas, en Mauritanie" ? Si vous aimez votre mari ou compagnon, si vous aimez lui faire l'amour, OSEZ le lui dire, gentiment, en lui souriant avec tendresse… Au pire, il sera peut-être 'choqué', – mais surtout amusé (en tout cas s'il est encore amoureux). N'est-ce pas un délicieux compliment, pour un homme, de se sentir aimé et désiré par la femme qu'il aime et a choisie ??
Soyez moderne, Houley ! Laissez de côté, toutes ces conventions ridicules : il n'y a aucune honte à ressentir du désir pour l'être qu'on aime ; avoir envie de sexe, c'est normal !
Bien trop de jeunes femmes, dans votre pays, sont (encore chaque année) cruellement mutilées, "pour trouver un mari". Elles voient de ce fait, leur vie sexuelle saccagée. Si vous avez la chance de ne pas l'être, si vous avez le bonheur d'éprouver du plaisir dans ses bras, faites-le lui savoir, vivez votre vie !
Et m…. pour les interdits d'un autre âge et ces vieilles coutumes qui dénient aux femme un statut d'égalité avec les hommes. On est au 21e siècle, Houley. Aujourd'hui, quand on s'aime et qu'on "en a envie", il FAUT le dire. Ici, en Europe, une majorité d'hommes souffre parce que, justement, c'est toujours à eux de 'demander'...
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Problème : « Ma femme veut s'affirmer et divorcer. Elle dit ne plus m'aimer, ne plus avoir de sentiments. » Bernard (France)

Les femmes ont une personnalité… complexe. Toute femme a un besoin vraiment "viscéral" de tendresse, et de sécurité, – bien plus encore que nous, les hommes. Aussi, pour que dure la séduction, elle doit se sentir valorisée, 'considérée' et réaliser que son mari ou partenaire s'implique dans son bonheur, répond à ses diverses "attentes". C'est pourquoi, en cas de crise dans le couple, il est important et assez facile (pour tous les deux, en fait) de se poser les bonnes questions, comme par exemple :
• "Suis-je assez tendre avec elle (lui) ? Est-ce que je lui dis souvent, 'je t'aime', souligné d'un baiser ?"
• "L'amour et l'harmonie, dans notre couple, sont-ils rassurants, quant à la durée de notre relation ?"
• "Serais-je avare en compliments, félicitations, encouragements ou menues attentions ?"
• "Est-ce que notre vie intime lui prouve mon amour, mon sincère attachement à sa personne et à notre relation ? Mon souci de son plaisir autant que du mien ?"
• "Est-ce que je montre assez que sa vie m'intéresse ?"
• "Ai-je l'esprit assez ouvert pour qu'elle (il) ose ou ait envie de me parler chaque jour ?"
• "Puis-je l'écouter ? Montrer de la considération pour ses points de vue, ses opinions, ses idées ?"
• "Suis-je volontiers prêt(e) à un échange de concessions ?" Etc.
Quand plusieurs réponses sont négatives, la ou le partenaire devient vulnérable. Entre autres, au charme d'autres yeux : cette personne nous renvoie une image plus positive de nous-même.
"Si tu trouves tout ce dont tu as besoin à la maison, qu'irais-tu chercher ailleurs ??" est une idée-phare : lors d'une nouvelle rencontre, QUI est à l'abri de ce sentiment délicieux d'être apprécié(e) ? Cela s'attrape comme un rhume. On n'y peut rien. Avoir alors la tentation d'une "autre vie", ne signifie pas forcément un fugace désir "d'affirmation de soi". Ce comportement révèle plutôt une vive lassitude, celle de la routine, du ronron conjugal, de la vie qu'on mène ; de l'impression, déprimante aussi, de ne plus plaire à sa moitié.
    Ici, intervient la notion d'empathie : pouvoir se mettre à la place de l'autre pour mieux la / le comprendre. La différence des points de vue saute alors aux yeux, surprend ! Et on devient (en principe) plus indulgent.
    Mais, pensez-y, toute crise de couple débute par une progressive dégradation de la communication. Or, il faut être deux pour communiquer. Donc, la crise repose bien sur quatre épaules, non sur deux…
Votre message indique que vous pourriez tous deux retirer un grand profit en vous impliquant davantage dans votre relation au quotidien, c. à d., en complétant votre information sur les divers aspects d'une vie de couple bien comprise, sur les attitudes à privilégier… et les pièges mortels à éviter.
Cliquez ici pour jeter un coup d'œil à mon article sur ce sujet.
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Problème : « Ayant une personnalité 'affirmée', j'ai souvent des heurts pour des futilités avec mon époux. Par ailleurs, il est très conciliant mais assez nerveux et c'est cette nervosité, justement qui m'irrite ! Que faire ? Aidez-moi ! Merci. » Dhohra (Algérie)

Vous semblez avoir analysé la situation avec intelligence et objectivité ; vous admettez même, lucidement, que vous avez "du caractère". ;-) La solution de ce modeste problème est dès lors assez simple : il vous sera aisé, afin d'éviter de vous irriter pour un rien, de vous mettre plus souvent à la place de votre mari. Posez-vous les bonnes questions, par exemple : "Mais pourquoi réagit-il comme ça ?" Ou : "Comment aurais-je réagi MOI à sa place ?"
D'autre part, vous connaissez ses points sensibles. En vous abstenant de stimuler sa 'nervosité', vous aurez de prompts résultats. Ne l'oubliez pas, s'il est 'très conciliant', vous avez déjà une chance énorme ! Il admet donc vos points de vue, il ne vous impose pas systématiquement les siens, ce qui est une réelle qualité, relativement rare chez les hommes de tradition musulmane.
Donc, en communiquant plus calmement, en lui exposant clairement vos attentes précises, en le priant à son tour de vous exprimer les siennes, vous pourriez tous deux, moyennant un échange de petites concessions, parvenir ensemble à des compromis satisfaisants, positifs pour chacun.
À mon sens, votre vie de couple retirerait un grand profit, au quotidien, si vous acceptiez tous les deux de compléter votre information sur les divers aspects de la relation conjugale tels qu'on les conçoit aujourd'hui.
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Problème : « Je suis dentiste. Mon mari ressent une gêne parce que j'ai fait des études. Si je fais quelque chose, non contre lui mais juste pour être moi-même, ça le dérange et il m'agresse. Il se montre autoritaire craignant "que je prenne le dessus sur lui". Il ne me fait pas confiance, préférant "faire attention, car si je le déçois, il n'y survivrait pas" (!?) Nous ne sommes pas heureux. Je dois faire comme il dit, sinon ça ne va pas. Il veut qu'au 1er enfant , je m'en occupe moi-même, que j'arrête ma profession. Je découvre tous cela après deux ans de fiançailles et 6 mois de mariage. Je suis affreusement déçue, ne sachant plus que faire. » Adila (Algérie)

Je compatis vraiment à votre situation : elle révèle un homme complexé par le fait que vous soyez une femme indépendante, qui n'a pas vraiment besoin de lui. Par tradition, il ne supporte pas que vous ayez votre personnalité, votre droit à être différente, à penser et agir d'une autre manière : pour lui, un homme a toujours raison, voyons ! La femme n'est-elle pas, un être "inférieur" ?
Il vous a dissimulé (manque de franchise ?) sa vraie nature tant que vous ne lui "apparteniez" pas. Mais, comme je l'explique en détail dans mon livre, il doit le comprendre, PERSONNE n'est jamais la "propriété" d'une autre personne.
Les hommes de tradition musulmane sont trop souvent convaincus de leur supériorité indiscutable. Aux yeux de ces hommes-là, l'épouse est une domestique non payée ; elle a le droit d'obéir, de se soumettre, de produire des enfants et de s'occuper des tâches ménagères. En aucun cas, on lui demande de donner son point de vue, de faire part de son opinion. Elle n'a pas à intervenir dans les décisions importantes, qui se prennent à deux dans les couples modernes, 'ouverts'.
Enfant ou pas, ne vous laissez JAMAIS, je répète JAMAIS imposer sa volonté : vous seriez malheureuse pour le reste de votre vie. Contrairement à mon habitude, je vais vous citer mon exemple personnel :
ma femme, agrégée en mathématiques, a enseigné 15 ans aux dernières classes d'un lycée. Chirurgien-dentiste, comme vous, je gagnais ma vie. Aussi, à la naissance de notre deuxième enfant, elle m'a demandé d'arrêter de travailler… et j'ai accepté. Eh bien, elle a regretté son erreur pendant 20 ans : les contacts avec ses élèves, ses collègues, le monde extérieur, les congrès pour se maintenir au courant, la sensation de participer au monde, – toute cette vie qu'elle avait connue depuis l'université n'a pas tardé à lui manquer cruellement. Qu'était devenue sa vie quotidienne, en effet ? Les courses, la cuisine, les tâches de la maison, les couches... Plus tard, conduire et rechercher les enfants à l'école… Bref, la monotonie, la routine, l'ennui, la... dépendance !
Et l'impossibilité d'en sortir : sa place était prise au Lycée. Retrouver un emploi de professeur pas trop loin de notre domicile et de mon centre dentaire n'a pas été possible.
Ne faites pas la même erreur : vous vivriez sous la dépendance complète de votre mari (qui ne semble pas, lui, particulièrement d'esprit ouvert) et vous le regretteriez amèrement.
Surtout, vous ne pouvez pas causer cette déception à vos parents : ils se sont certainement sacrifiés pour payer vos études et sont légitimement fiers de leur fille, aujourd'hui.
Si vous lui cédez la moindre parcelle de votre indépendance, Adila, vous serez 'perdue'. Vous l'avez vraisemblablement épousé sans le connaître à fond, sans percer à jour sa vraie nature, son désir macho d'être 'le Maître' à qui on obéit ; sans réaliser qu'en vous épousant, il voulait vous dominer. Et votre décision a donc été un peu rapide…
À votre place, je m'efforcerais de lui parler calmement, tous les jours, pour lui expliquer que vous ne voulez pas du tout le contrarier mais que vous tenez à votre propre personnalité, à votre pouvoir de décision et à votre statut professionnel, si durement acquis.
Vous avez le droit d'être heureuse, Adila. Posez-vous la question : le serez-vous avec un homme qui veut vous dominer, restreindre votre indépendance ? Dans l'attente de voir plus clair, il serait sage de ne pas encore faire d'enfant : vous seriez alors "prisonnière". Même si ce n'est pas habituel dans votre pays, prenez la pilule ! Si vous avez des difficultés à vous en faire prescrire, expliquez à votre gynécologue que vous souffrez de forte dysménorrhée. Et sachez-le, un problème peut toujours être résolu,
• si on communique de façon constructive, posée, sans élever le ton. Des techniques existent pour ça ;
• si on se tient fermement à ses choix et à ses décisions.
Tenez bon, Adila, ne laissez jamais écraser votre âme, votre personnalité, votre richesse intérieure !
Au fait, j'ai retrouvé sur mon blog une ancienne lettre d'un Algérien auquel j'avais répondu en son temps… Sa femme est dentiste et il réagissait comme votre mari. Cela vous amusera de la lire ; cliquez ici.
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Problème : « Je suis triste parce que mon copain n'a pas de temps libre suffisant pour moi et je sors rarement avec lui. Cela me déprime et je pense à mon premier amour, – c'est-à-dire, il y a 10 ans... » Shanaz (Iran)

Chère Shanaz, Pourquoi ne pas lui en parler, tout simplement ??
Vous pourriez vous fixer des rendez-vous, au moins une fois par semaine ! Ainsi il serait possible à chacun de vous, de se préparer à passer ensemble d'agréables moments ; de partager une activité ou un centre d'intérêt ; de faire une sortie à vous deux ; d'aller à un spectacle (si c'est permis en Iran… ?), ou de vous promener tous les deux ; ou encore de consacrer du temps à … l'intimité ?
• S'il accepte cette idée, toute simple, s'il respecte avec soin ces rendez-vous à deux, vous comprendrez qu'il tient vraiment à vous, même si son emploi du temps lui laisse peu de liberté.
• S'il se "défile", au contraire, s'il annule souvent ou raccourcit vos rendez-vous pour toute une série de raisons oiseuses, vous en déduirez que son "amour" reste théorique, qu'il ne vous aime pas vraiment, en tout cas pas comme vous le souhaitez ; cela indiquera alors que votre relation n'est pas faite pour durer… Imaginez-vous, en effet ce que deviendrait cette situation si vous viviez ensemble ? Comme l'épouse d'un soldat ou d'un marin, vous le verriez tous les trois mois. Si cela peut convenir à certaines femmes, il ne semble pas que ce soit votre cas.
S'il se comporte déjà comme ça, alors que ne vivez pas ensemble, si déjà aujourd'hui, vous souffrez de son indisponibilité, vous faites fausse route avec lui : ce comportement est un manque de respect.
Sa considération se limiterait-elle au désir physique ? Croit-il qu'on séduit une femme seulement en lui accordant quelques heures de loin en loin ?? Ou en ne partageant que des moments intimes ?
Il devrait alors compléter son information sur les différents aspects d'une vie de couple normale, heureuse, moderne, actuelle. Une vie de couple dans laquelle chacun s'intéresse à l'autre, s'efforce de contribuer à son épanouissement, à son bonheur.
Êtes-vous sûre, Shanaz, si dès à présent vous en êtes à faire des comparaisons avec votre premier amour, que ce "copain" est vraiment l'homme qui vous convient ?
Si vous le fréquentez parce que vous n'avez... pas trouvé mieux, s'il constitue pour vous un compagnon occasionnel pour rompre votre solitude, je le répète, vous faites fausse route.
Il serait bon de vous poser ces questions : "Est-ce qu'il m'aime vraiment ? Est-ce que nous pourrons être, pour longtemps, heureux ensemble ? Ou est-ce que mon ancien boy-friend me manquera toujours ?"
Quand vous aurez les réponses, vous saurez si vous voulez vous engager avec lui… ou non. Car, si votre relation de couple vous rend "triste et dépressive", il y a sûrement quelque chose "qui ne tourne pas rond".
Expliquez-lui votre attente, parlez-lui, apprenez à vous connaître à fond, à connaître vos valeurs, vos objectifs, vos projets. Et alors, seulement, choisissez.
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Problème : « J'ai toujours des problèmes avec ma femme au sujet des rapports sexuels. En fait, elle n'aime pas en avoir avec moi. Elle ne me sent pas vraiment comme son homme. » Bruno (Congo-Brazzaville)

Je comprends la difficulté de votre situation. Cependant, quand un problème de ce genre survient, vous pouvez en être certain, la cause, la responsabilité, repose sur quatre épaules, pas sur deux...
Si l'attitude de votre femme au lit ne vous plaît pas, vous avez un moyen très simple d'éclaircir la situation : lui parler !... Lui demander, sans reproches mais au contraire, avec tendresse et affection, quelles sont ses attentes. C'est-à-dire ce qu'elle aimerait, ce qui lui ferait plaisir, ce qui pourrait changer sa façon de réagir avec vous dans l'intimité.
En effet, il y a de nombreuses causes possibles au fait qu'elle ne vous donne pas satisfaction… :
• Peut-être fait-elle des… comparaisons, – avec ce qu'elle a vécu dans le passé ; ou avec ce que lui disent ses amies ?
• Peut-être souhaite-t-elle que vous soyez plus tendre, plus doux ? Que vous pensiez à être gentil avec elle, aussi dans la vie courante, pas seulement au lit ?
• Peut-être aimerait-elle de votre part, plus d'aide, davantage de solidarité ? Ou de compliments ? Ou d'attentions ? Ou de respect ?
• Peut-être, tout simplement, ressent-elle certaines douleurs quand elle fait l'amour ??
• Etc.
Si vous lui parlez, calmement, elle pourrait vous expliquer le fond de son problème et ainsi vous dénouerez la situation. Mais c'est à vous qu'il appartient de déterminer les causes réelles de son attitude. En supprimant ces causes, en opérant de légers changements dans votre façon d'être avec elle, elle pourrait enfin se révéler amoureuse et oublier le passé.
Cependant, si vous souhaitez sincèrement voir votre relation durer et s'améliorer, il existe une technique radicale et facile d'y parvenir : compléter tous deux votre information sur les divers aspects d'une vie de couple réussie. En apprenant, par exemple les attitudes à privilégier l'un avec l'autre et… les pièges à éviter à tout prix ! Jetez donc un coup d'œil à mes articles sur ces questions, en cliquant ici et ici.
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Problème : « Elle me dit que je suis un perdant, que je n'avancerai jamais dans la vie. Nous avons un enfant ensemble et 13 ans de vie commune. » Remy (France)

Eh bien, nous pouvons lui montrer qu'elle se… trompe ! Comment ? En agissant, pardi ! C'est la première manière – la plus logique et en même temps la plus facile – d'avancer.
J'ignore le détail de ses reproches mais je devine que vous aspirez de tout cœur à une relation plus cool, harmonieuse. Que vous aimeriez tant revivre l'ambiance sereine de vos débuts, l'entente à demi-mots, la bonne humeur, la tendresse, ces moments où l'on se sent si proches, la délicieuse intimité…
Les reproches, les disputes, au contraire, quel ennui, quelle perte d'énergie ! Mais soyez-en sûr, il existe des solutions ; vous n'en avez peut-être pas encore entendu parler mais elles ont déjà fait leurs preuves.
Je vous suggère donc de compléter votre information sur les différents aspects de la relation de couple :
• En communiquant mieux et plus souvent avec votre compagne ;
• En lui prouvant vos capacités d'action ;
• En lui témoignant plus d'attention(s), d'intérêt pour sa propre vie, de considération pour les qualités qu'elle a certainement ;
• Si vous l'aimez encore, en exprimant de façon détendue et sincère les sentiments que vous avez encore sûrement pour elle ;
• En lui expliquant combien vous êtes attaché à votre relation de couple et la valeur qu'a pour vous cette famille que vous avez construite ;
• En lui demandant quelles sont ses attentes précises et en faisant votre possible pour y répondre.
Votre compagne a en effet certainement divers souhaits, espoirs et désirs, dans différents domaines de votre vie commune. Par exemple :
• un meilleur partage des tâches ?
• Plus de moments de détente à vous trois ?
• Plus de moments de surprise ou de rire ?
• Davantage de "motivation" et d'attention dans vos moments d'intimité ?...
À vous de déterminer ce qu'elle souhaite et la nature de ses frustrations. Lui demander une explication claire et franche de ce qu'elle souhaiterait voir changer au quotidien, suffit pour agir.
Proposez-lui alors un échange de concessions. Ainsi vous parviendrez à des compromis. Si chacun de vous accepte de menus changements d'attitudes, la "machine" pourra redémarrer : rassurez-vous, ça arrive dans tous les couples, ces turbulences-là.
Il y a pour surmonter ces problèmes, des techniques testées et bien connues pour leur efficacité, Remy. Et la première, la plus fondamentale concerne une habitude facile à prendre : se parler tous les jours. En amis, en adultes qui se sont aimés et comprennent que ce ne sont ni les cris, ni les reproches, ni les jugements critiques qui font avancer le schmilblick… C'est au contraire, l'expression calme et posée de ce que l'on ressent chacun, de ce qu'on voudrait tant voir évoluer.
Ces techniques ont fait leurs preuves chez de très nombreux couples, dans le monde entier.
Alors pourquoi pas chez vous ?? :-)
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Problème : « Nous sommes en couple depuis six ans. Mais depuis deux ans, ma femme a changé de travail et depuis, je subis insultes, colères, indifférence, mensonges... Ses parents et ses collègues ont pris le dessus sur notre vie de couple. Depuis, elle vit comme une mère célibataire. Que faire ? » Victor (Île de la Réunion)
Attention : encore une adresse e-mail désactivée ou erronée - et donc une réponse retournée...

Quand une situation se complique à ce point, il est bon :
1. de vous poser à vous-même les bonnes questions ;
2. d'avoir une conversation sérieuse tous les deux, – franche, calme et sincère ;
3. de vous interroger avec objectivité, sur les reproches légitimes qu'elle pourrait, elle, éventuellement nourrir à votre encontre ;
4. de l'interroger sur une éventuelle et nouvelle "fréquentation"...
Si vous voulez que la vie redevienne comme avant, il vous appartiendra de franchir ces quatre étapes. Par une meilleure communication, il vous sera possible de vous faire expliquer clairement :
• "ce qui ne va pas" ;
• ce qu'elle vous reproche pour avoir à ce point changé de comportement ;
• quelles sont ses attentes précises ;
• si elle connaît quelqu'un et aimerait vous quitter.
Dans la mesure où vous abordez uniquement le comportement de votre femme, j'imagine que vous considérez n'avoir "rien à vous reprocher" ? En ce cas, vous avez, vous aussi, Victor, droit au bonheur.
Alors la solution, me semble tout à fait à votre portée : si elle vous aime encore, une conversation détendue, au cours de laquelle vous vous montrerez ouvert à son point de vue, prêt à l'écouter avec bonne volonté et sans l'interrompre, peut suffire. Vous comprenez, elle doit réaliser que vous ne lui faites aucun reproche, que vous exprimez simplement votre chagrin et la peine que vous éprouvez, sans en connaître la cause.
(N'oubliez pas cependant qu'il est rare qu'une crise de couple ne repose que sur deux épaules !)
Si elle refuse de vous parler ainsi, vous pouvez lui exposer tout ceci dans une très courte lettre. Selon moi, elle vous en veut pour quelque chose d'important ou alors, elle connaît peut-être quelqu'un d'autre. De toute manière, vous devriez tous les deux penser à compléter votre information sur les divers aspects de la vie en couple : tout pourrait revenir comme avant, si vous vous aimez encore un peu et que vous êtes chacun prêt à certains changements mineurs d'attitudes dans la vie courante et à un échange de concessions.
Vous pouvez aussi jeter un coup d'œil sur quelques articles, ici.
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Problème : « Ma belle-mère détruit mon couple ! J'aime mon mari, le papa de ma fille, mais sa mère est autoritaire. J'aimerais bénéficier de votre point de vue et de votre aide, car on va divorcer à cause d'elle. Elle n'accepte pas une belle-fille. La 1ère épouse de mon mari est partie parce qu'elle voulait sa propre maison ; c'est le même problème avec moi, je ne veux pas d'une belle-mère odieuse dans les pieds. Elle me critique beaucoup et me déteste, m'agresse continuellement. Mon mari est un "fils-à-sa-maman" et je suis fatiguée et épuisée. Je n'ai plus la force de continuer dans ces problèmes. Je vais garder ma fille et mon boulot et me tiendrai tranquille, en dépit de la société d'ici, qui me mènera la vie dure : on répudie sa femme sans problème mais quitter son mari est un scandale... Aidez-moi, svp. » Anika (Algérie)

Votre situation est en effet difficile et douloureuse. Curieusement, c'est toujours d'Afrique que je reçois des descriptions semblables, de belles-mères odieuses et de famille envahissantes. À croire que les vieux là-bas comptent trop sur leurs enfants pour résoudre leurs problèmes liés à l'âge.
Si vous aimez vraiment votre mari, je vous conseille d'essayer encore la solution du "dialogue sans reproches". À un moment où vous ne serez pas dérangés, vous lui apportez un verre de thé et vous vous asseyez à ses côtés. Calmement, posément, vous lui expliquez seulement ce que vous ressentez. Pas de critiques ni de reproches, pas de pleurs ni de cris, aucun jugement. Non, vous lui expliquez simplement votre chagrin, votre peine et le choix devant lequel vous vous trouvez tous les deux.
Vous pourriez lui dire (ou même lui écrire un petit mot) dans le genre de ceci :
– "Habibi, je ne n'en peux plus, nerveusement et je suis très malheureuse. Oh, elle a sûrement ses qualités, ta mère… mais elle ne m'aime pas. C'est comme ça, nous n'y pouvons rien. Mais j'espère que toi, tu m'aimes autant que je t'aime. Si c'est le cas, penses-tu que nous pourrions envisager d'aller habiter ailleurs ? Vivre à côté d'une belle-mère 'qui a du caractère' n'est jamais facile pour un couple. Il m'est très pénible de te dire ça mais les tensions continuelles qui se passent ici à la maison, me causent beaucoup de chagrin, car je réalise que nous allons tout droit vers une séparation ! À moins, bien sûr, que nous puission déménager rapidement, afin d'habiter seulement à nous trois. Qu'en penses-tu, habibi ?"
S'il se fâche contre vous, alors que vous n'avez exprimé aucune agressivité envers lui, s'il montre clairement qu'il préfère sa mère et redoute "ce que pourraient dire la famille et les voisins", vous devrez alors constater qu'en effet, il ne vous aime pas autant que vous l'espériez et qu'il n'a guère de considération pour vous.
Conclusions. Malgré ce qu'en disent les autres, c'est votre vie et votre bonheur qui sont en péril. Il ne convient donc pas de se soumettre à la volonté d'un homme qui, le jour où vous serez "trop âgée", peut sans difficulté, vous répudier ou vous tromper… Le temps est venu de choisir :
• ou il accepte votre proposition très rapidement ;
• ou, comprenez qu'essayer encore vous fera simplement perdre des années de bonheur en plus, car,
• de toute façon vous quitterez un jour votre belle-mère, – avec ou sans lui... !
Rappelez-vous : les chances de résoudre ce problème passent inévitablement par une bonne et calme communication avec votre mari : s'il veut sauver son couple, il devra accepter de déménager loin de sa mère ; et qu'il ne croie surtout pas que lui parler à elle ferait durablement changer les choses.
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Problème : « Ma femme se fâche chaque fois que je veux la séduire. » Tewfik (Djibouti)

Mais alors, Tewfik, pourquoi ne lui parlez-vous pas ?? Pourquoi ne lui demandez-vous pas, gentiment, ce qui se passe ?? Si c'est votre femme, vous l'aimez ? Alors montrez-vous tendre et compréhensif : à Djibouti et en Somalie, près de 100 % des femmes sont excisées et cousues. Comment voulez-vous alors qu'elles puissent avoir une vie intime "normale" et qu'elles puissent seulement en avoir envie ?
Si votre femme a été ainsi horriblement mutilée, elle SOUFFRE quand vous voulez la "séduire" (?). Imaginez- vous comme il serait agréable pour vous, de faire l'amour si, par exemple, la peau de votre pénis avait été arrachée ou découpée avec une lame de rasoir, à vif ?
Si elle vous explique que son problème vient en effet de douleurs sexuelles, amenez-la dans un bon hôpital et faites-la opérer par un bon médecin. Si la cause de votre problème est liée à la mutilation génitale, votre vie à tous les deux pourrait se voir transformée par une petite opération, – et sous anesthésie, cette fois !
Conclusions : 1. Demandez-lui tendrement, de vous expliquer les raisons de son refus : elle a peut-être peur d'avoir un enfant dans ces conditions ?
2. Emmenez-la de toute façon consulter un médecin dans un bon hôpital : il pourra l'aider.
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Problème : « Peut-on rendre une femme amoureuse, si on n'est pas du même monde ? » Albert (Belgique)

Amoureuse ? Sans aucun doute, si on se montre tendre, délicat, attentif et ouvert à la communication.
Heureuse, ce sera plus incertain, en tout cas dans la durée. Cela dépendra fort de sa personnalité et de ses qualités de cœur. Si elle est intelligente et capable de s'affranchir, si nécessaire, de sa famille ; si elle trouve la sécurité auprès de vous ; si, sans être "du même monde", vous prenez garde, chacun, à toujours vous comporter en personne respectueuse, "bien élevée" ; si chacun se sent capable de s'intéresser à certains des centres d'intérêt de l'autre ; si vous arrivez à trouver des activités qui vous plaisent à tous les deux et que vous pouvez partager, – oui, ce doit être possible.
Quelques points à retenir, cependant :
• éviter toute décision précipitée quant à votre avenir commun ;
• accepter d'apprendre, de s'ouvrir au "monde" de l'autre ;
• prendre chacun sur soi pour se montrer naturel, amical et ouvert, avec la belle-famille ;
• se parler tous les jours avec franchise et sans gêne inutile est peut-être encore plus important que dans un couple "courant" ;
• compléter tous deux votre information sur les attitudes à préférer ou à éviter dans la vie à deux : elle est déjà assez difficile comme ça, autant ne pas commettre d'impair !
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Problème : « Mon mari me ment sans arrêt et m'a trompée. Je veux lui pardonner, oublier, je n'y arrive pas. Que faire? » Marie-Claire (France)

Votre situation est en effet extrêmement difficile et pénible. Ne serait-il pas judicieux de vous poser une série de questions pour aborder un problème après l'autre ?
– L'AIMEZ-VOUS encore ?
• Avez-vous des enfants qui aiment leur père ?
• Il vous a trompée ; est-il amoureux de « l'autre » ?
• Ou au contraire, regrette-t-il sincèrement son infidélité et vous assure-t-il de la réalité de ses sentiments pour vous ?
• En les prouvant ?
• Est-il tout de même disponible pour du temps avec vous ou se montre-t-il constamment indifférent ?
• Quelle est selon vous l'origine première de vos difficultés ? (Par exemple, c'est très souvent à la suite de l'arrivée d'un bébé : comme il est difficile pour la mère de se couper "en 8", le père se sent souvent exclus.) Etc.
Selon les réponses que vous donnerez à ce genre de questions, il vous appartient de faire un choix : notre vie dépend toujours et exclusivement de nos choix et de la façon dont nous nous y tenons…
• Si vos réponses sont clairement favorables, il semble avisé de vous parler, posément et de remplacer les pleurs et les reproches par l'expression calme et sans jugement de votre ressenti.
• Si vos impressions objectives sont au contraire, toutes négatives, ma foi, il faut pouvoir admettre que, dans une relation de couple, les choix du passé ne peuvent pas toujours avoir été les meilleurs... Il est alors souvent préférable de se séparer sans toutefois oublier ce qu'on a partagé : le temps, si on le laisse faire, apaise les rancœurs et permet de retrouver des rapports cordiaux.
Ce type de difficultés, Marie-Claire, survient en général quand on ne communique pas bien, qu'on ne partage pas assez, qu'on ne sent pas l'autre solidaire, tendre et valorisant. Bref, quand on s'est lancé un peu vite dans une relation, surtout fondée au fond, sur une attirance physique intense.
Malheureusement la passion des débuts ne dure pas, sans construire et entretenir une relation de vrais amis, qui communiquent quotidiennement, expriment leurs attentes, partagent des valeurs, des activités, des centre d'intérêt, se montrent attentionnés et volontiers valorisants…
La décision qu'il vous appartient de prendre demande une réflexion approfondie, lucide, en écartant le plus possible vos émotions et en vous voulant objective. Pourquoi ?
Pour la raison qu'une relation de couple est un travail d'équipe ; on construit ENSEMBLE son bonheur ou son malheur. Il est donc constant que la responsabilité des crises repose (au moins un peu) sur les quatre épaules.
Je vous souhaite beaucoup de courage et de force pour assumer vos choix.
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Problème: « Je souhaite refaire ma vie avec mon ex-mari après avoir commis l'adultère, il y a 5 ans. Divorce long et douloureux, très conflictuel (je suis de tendance agressive) (...) Mais je sais que je l'aime tjrs. Et nous avons un enfant de 8 ans. » Candice (Suisse)

Vous exposez votre point de vue, qui peut très bien se comprendre. En particulier si votre nouveau couple ne vous a pas apporté le bonheur durable que vous recherchiez… Mais, qu'en pense votre ex- ? Il faut être deux pour refaire sa vie avec quelqu'un. Et il est peut-être en couple à présent, lui aussi ? De plus, si vous l'avez trompé à l'époque, c'est que vous souffriez de certains points douloureux dans votre relation : des choses qui vous manquaient ou que vous ne supportiez plus ; des frustrations, un "trop-plein" ?
(À ce propos, vous pouvez jeter un coup d'œil à mon article "Causes d'infidélité et de rupture".
En 5 ans, vous n'avez peut-être ni l'un ni l'autre, tellement changé pour que vos retrouvailles demeurent sans nuages, – du moins après quelques semaines… Il conviendrait donc de bien réfléchir à la situation, afin de faire en sorte que votre "réconciliation" se passe dans les meilleures conditions. Comment ?
En vous informant, bien sûr ! En récoltant le plus d'informations possibles, tous les deux, sur les moyens et techniques qui vous permettraient de mieux vivre ensemble… Et d'éviter de retomber dans des erreurs passées, pour vivre une vie de couple sereine et heureuse. (Ceci, dans la vie courante à deux, comme dans l'intimité.) Par exemple ? Sur les façons d'améliorer votre façon de communiquer, de partager, d'écouter, d'exprimer vos sentiments respectifs – ou vos attentes ; de négocier des compromis et, évidemment, d'améliorer au mieux vos rapports intimes.
Un tel programme vous donnera davantage de chances de réussite que simplement "tenter le coup" de se remettre ensemble, surtout parce que vous pourriez ressentir encore tous les deux des bouffées de désir.
Je vous suggère de bien peser le pour et le contre et surtout de ne pas vous aventurer en terrain inconnu, c'est-à-dire sans savoir si lui est encore assez amoureux pour vouloir recommencer "pour de vrai".
Car, avoir envie de vous retrouver au lit, est une chose ; vous sentir tous deux prêts à revivre durablement ensemble en est une autre. Fort différente. En tous cas, j'espère que vous pourrez reconstruire un bonheur ensemble, – en parvenant d'abord à "lâcher prise" au plan de l'agressivité.
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Problème: « Mariée depuis un an, je suis enceinte. Mon problème est non avec mon mari mais avec sa mère ! Elle croit que je veux les séparer (c'est son fils unique). C'est une personne instruite (docteur en histoire) mais elle se comporte avec moi comme si j'étais son ennemie. Devant son fils, elle joue les victimes et fait semblant de m'aimer. Alors, il la croit. Mais quand son fils n'est pas là, son attitude change, elle me "taquine", me dit des mots blessants. Moi, je ne suis pas hypocrite et là, j'ai eu ma dose. Je ne peux pas continuer à vivre avec elle, malgré que j'aime mon mari et que j'attends un bébé. Aidez moi SVP : on ne se parle plus ! » Nassima (Algérie)
Attention : encore une adresse e-mail désactivée ou erronée – et donc une réponse retournée...

Cette situation est douloureuse et je comprends votre peine. Ne pensez-vous pas qu'il serait logique d'expliquer calmement ce que vous ressentez, à votre mari ? Par écrit, si vous ne vous parlez plus.
Il y aurait lieu de lui faire comprendre avec tact mais fermeté que le temps est venu pour lui de faire un choix : qu'il continue à voir sa mère quand il le souhaite mais qu'il ne vous impose plus sa présence.
Exposez-lui votre détresse et l'importance pour votre bébé d'avoir des parents unis et de vivre à l'abri de conflits d'adultes. Faites-lui réaliser que la survie-même de votre couple est en jeu ! Ce ne serait pas la première fois qu'une mère possessive pousse sa belle-fille au divorce.
Maintenant, restons objectifs : que son manque de sympathie pour vous pousse votre belle-mère à vous "taquiner", n'est pas dramatique ! Vous pouvez parfaitement lui répondre "du tac-au-tac", en restant polie.
Elle vous agace tellement que vous réagissez peut-être un peu trop vite et trop fort. À vous de le déterminer en vous posant la question avec lucidité.
Bien sûr, si votre belle-mère habite avec vous (?) dans une hostilité constante, il est temps qu'elle s'en aille ou que vous déménagiez. Cette cohabitation éventuelle ne devrait pas durer, sinon vous risquez d'en arriver rapidement à une séparation. Sans le réaliser, probablement, votre belle-mère est un peu jalouse de l'amour que son fils unique vous porte : pour elle, vous lui avez "pris" l'amour de son fils. C'est une situation fréquente chez les fils uniques à leur Maman. Pour la mère d'un fils unique, il est toujours difficile de reconnaître des qualités à sa bru.
Votre bonheur à tous les trois (vous, votre mari et le bébé) est en jeu. Votre belle-mère devrait passer après, – ça votre mari peut le comprendre s'il a un minimum de psychologie. Il serait donc bon de "crever l'abcès", c'est-à-dire lui expliquer en gardant votre calme (pas de cris ni de pleurs) que vous ne supportez plus cette vie et la présence constante de votre belle-mère. Que celle-ci est différente avec vous quand il n'est pas là mais joue les victimes, en sa présence. C'est lui qu'il serait bon d'informer de la situation exacte.
S'il ne comprend pas, une bonne façon de le faire réfléchir serait de retourner quelque temps dans votre famille. Ainsi vous retrouverez votre calme. Vous faire du souci comme ça et risquer une dépression, c'est mauvais pour le bébé.
Bon courage, Nassima, la solution passera d'abord par une meilleure communication avec lui (en lui parlant ou en lui écrivant une courte lettre). Ensuite par l'éloignement. Faites-lui bien comprendre que vous respectez sa mère mais que vous aussi avez droit à du respect. Et à du bonheur. Pour votre bébé, l'avenir de votre couple et votre bonheur futur, il vous faut AGIR.
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Problème : « Onze mois de relation mais, depuis un mois, plus rien ne se passe entre nous. J'ai peur de la perdre ou qu'elle rencontre un homme pour qui elle puisse avoir du désir et donc partir avec lui... » Ange (Corse)

Si vous ne réalisez malheureusement pas qu'aimer une femme, vivre une vie de couple avec elle, n'a rien mais absolument RIEN à voir avec une relation de possessivité comme vous semblez la concevoir, je ne vois pas ce qui pourrait en effet, empêcher votre compagne de reprendre un jour son autonomie, de "briser ses chaînes" : jalousie et possessivité tuent rapidement tout espoir de relation durable, parce que vivre ensemble signifie d'abord bien communiquer et se faire confiance.
Votre hantise qu'elle rencontre un autre homme est bien pathétique : au lieu de construire votre relation sur la communication et la confiance, – mais aussi l'échange, le partage, la solidarité, le respect de l'autre, de ses différences et de son droit à l'autonomie, vous lui donnez, par vos exigences, l'arme pour vous détruire !
Vivre une relation qui dure ne peut jamais se limiter à la possession physique ; c'est toujours insuffisant de ne considérer comme important, que cet aspect-là. Jetez un coup d'œil à un court extrait de mon livre que je joins à ma réponse : Jalousie. Peut-être pourra-t-il vous ouvrir les yeux ? Vous faire changer de cap à 180° ? Considérer votre compagne comme une personne humaine à part entière, qui a besoin de votre confiance et aussi d'une relative indépendance d'adulte, pour s'épanouir ? Qui est heureuse, si elle vous aime, de vivre avec vous, mais aussi, en toute innocence, en dehors de vous.
N'est-il pas étrange d'imaginer une personne décidant qu'une autre lui "appartient", à vie ? Que cette personne lui impose ses décisions ; lui interdise de fait, toute vraie liberté de pensée ou d'action, hors de ses yeux de propriétaire… Une telle personne est cruellement dépourvue, en premier lieu de confiance en soi. Elle a donc un vrai besoin d'être rassurée et informée sur ce que peut être une vie de couple normale : harmonieuse, tendre et complice.
Aussi longtemps que ces notions ne sont pas bien comprises et assimilées, on souffre. Chacune des relations successives ne peut que tourner court : aimer est une notion très large mais ne signifie en aucun cas posséder, aliéner le droit à l'autonomie, au développement personnel, à l'épanouissement individuel.
À méditer. ;-) SOMMAIRE     QUESTIONS OU COMMENTAIRES  

Problème : « Je me mets très vite en colère contre mon épouse. J'aimerais trouver la solution pour cela, dialoguer avec elle comme avec mon amie, la rendre heureuse chaque jour ! » Roger (Québec)

Ce désir de la rendre heureuse… mettez-le donc en pratique. Vous avez compris l’importance du dialogue ? Alors, où est le problème ? Posez-vous les questions suivantes :
• Quelle est la vraie origine de ma colère ?
• Est-ce parce que je veux imposer mon point de vue, mes idées, ma façon de voir ou de faire ?
• Est-ce parce que je veux qu’elle m’obéisse ?
• Est-ce que je suis vexé de réaliser que ses arguments sont valables et qu’elle discute mes ordres ?
• Est-ce parce que je la trouve trop indépendante ?
• Est-ce le fait que j'ai du mal à lui faire confiance ?
Quatre points essentiels sont à vous rappeler tous les jours, Roger, si vous voulez vraiment qu’elle soit heureuse avec vous – et vous demeure fidèle :
• Votre femme a droit à la différence : penser, agir et être différemment de vous est normal. Cela prouve seulement qu’elle a sa propre personnalité, son intelligence, ses idées, sa façon personnelle de penser. Vous êtes sûrement trop intelligent pour ne considérer votre femme que comme une domestique non payée qui doit obéir, s’occuper du ménage et vous satisfaire sexuellement…
Quand ses idées concernant un problème ne coïncident pas avec les vôtres, au lieu de laisser monter la colère, asseyez-vous l’un près de l’autre et parlez chacun à votre tour, sans vous interrompre, "en amis", comme vous le souhaitez. Ainsi vous pourrez dégager des compromis où tous les deux gagnent, même si c’est au prix d’un échange de concessions pour que personne ne perde.
La violence verbale, vous l’avez réalisé, est incompatible avec le bonheur et finirait par tuer l’amour qu’elle a pour vous. Ce serait dommage.
• Votre femme a droit à votre respect. Elle est votre égale. Dans les sociétés modernes, on a compris cette notion d’égalité de droits ; l’homme n’est plus le Chef, les décisions se prennent ensemble. Aucun des conjoints ne peut sans cesse imposer sa volonté, s'il souhaite vivre une relation paisible et heureuse.
• Votre femme a droit, à l’intérieur de votre couple, à une certaine autonomie et à votre confiance : ce n’est plus une enfant. Un des nombreux moyens pour trouver l’harmonie à deux avec la femme qu’on aime est de lui montrer chaque jour votre tendresse et votre confiance, notamment en lui faisant des compliments, en valorisant son travail, sa beauté, etc. TOUTE femme a besoin de se sentir appréciée, reconnue, valorisée par son époux.
Si elle se sent trop souvent surveillée, soupçonnée, si elle doit vous rendre des comptes pour tout, sa vie est celle d’une prisonnière… Elle ne pourra que s’en aller après un certain temps. Au contraire, si vous lui montrez votre confiance en lui laissant un peu "la bride sur le cou", en vous intéressant affectueusement à sa vie, à ses préoccupations, mais sans lui faire passer des interrogatoires, elle se sentira bien mieux avec vous. Et vous percevrez une différence énorme dans son comportement intime !
• Votre femme a droit, à l’intérieur de votre couple, à une relative indépendance financière. Vous êtes certainement loin d’imaginer l’énorme progrès que connaîtra votre entente, simplement en lui allouant un budget fixe chaque semaine ou chaque mois. Si ce n’est pas le cas, disposer d’un compte bancaire personnel, crédité automatiquement à date fixe, d’un montant, convenu entre vous au préalable, donnerait à votre femme une double sensation merveilleuse :
* d’avoir un mari généreux.
* d’être une adulte responsable d’un budget propre, ce qui est pour une femme, infiniment valorisant.
Ces quelques idées vous seront utiles je l’espère, Roger. Je vous souhaite de retrouver votre équilibre d’humeur, condition absolue de votre bonheur à tous deux.
Mon livre que vous avez vu présenté sur mon site web vous intéressera, en vous amusant : il aborde les solutions aux diverses difficultés que rencontrent... tous les couples du monde.
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Problème : « Mon mari est agressif. Il me parle brutalement et s'attend à être servi. J'ai l'impression d'être sa bonne... mais bonne à rien ! Il lance des piques sur la poussière, le rangement, la nourriture... Je suis à bout et j'ai envie de vivre mieux. Je ne suis pas parfaite mais je mérite d'être heureuse, surtout que nous avons un bébé ensemble. Là encore, il n'arrête pas de critiquer ma façon de m'y prendre avec la petite depuis sa naissance. Merci pour votre réponse. » Sylvana (Belgique)

Voilà un message bien amer… Comme très souvent, il traduit une absence de vraie communication entre vous : tant de couples, au bout de quelque temps, ne font plus l'effort de se parler avec calme et affection. Mais il existe des techniques simples à appliquer pour y parvenir. Il suffit d'agir, de passer à l'action, – et d'abord en s'informant. Bien entendu, il convient aussi de déterminer si vous vous aimez encore. Devant son attitude de macho agressif, on peut en douter. Vous avez droit au bonheur, en effet mais aussi à la considération, à la tendresse et au respect de vos différence !
Je peux comprendre qu'il soit agacé de voir son logis en désordre ou insuffisamment entretenu à ses yeux, mais qu'attend-il alors POUR VOUS AIDER ? Pour se montrer solidaire, en partageant avec vous les tâches ménagères et familiales ? Il peut vous exprimer posément ses attentes, sans vous agresser ; c'est ainsi que se comporte un mari aimant et mature, qui souhaite construire avec sa femme une vie paisible, harmonieuse et heureuse. Ne dit-on pas "On n'attrape pas les mouches avec du vinaigre" ?? Ne peut-il réaliser la somme de temps et dénergie qu'une jeune mère doit consacrer à son bébé ?
Sachez, Sylvana, que si vous l'aimez encore, si vous avez encore des activités en commun, une vie intime qui vous satisfait, etc., il existe des solutions pour surmonter le genre de crises de couple que vous traversez. Appliquer ces solutions demande seulement un tout petit peu de bonne volonté de la part de chacun : la réussite ou l'échec d'une vie de couple repose sur quatre épaules. Pas sur deux.
Comme vous le reconnaissez avec simplicité, vous n'êtes pas parfaite, – mais qui l'est ?? Par contre, en exprimant chacun vos attentes respectives à votre partenaire, vous pouvez arriver à des compromis, basés sur des échanges de menues concessions. Et là, l'idéal si vous voulez que quelque chose change dans votre vie de couple, est de commencer par de légers changements… en vous-même ! Par exemple :
• Vous souhaitez qu'il vous parle sans agressivité ? Commencez par ne plus lui répondre sur le même ton, en l'accusant, en le jugeant, etc. Répondez-lui avec calme et sang-froid, en lui expliquant la peine que vous éprouvez en l'entendant vous parler comme à une inférieure.
• Il aimerait que votre logement soit plus propre, mieux rangé ? Restez parfaitement calme en lui expliquant avec un sourire : "Tu n'imagines pas comme ce serait plus efficace de le faire ensemble !..."
• Vous ne le réalisez peut-être pas, mais préparer un repas tous les deux est une activité extrêmement positive, qui vous rapproche dans une sorte de complicité amicale. Invitez-le à vous suivre dans la cuisine et proposez-lui, sur un ton détendu, de vous aider, en lui assignant des tâches précises, – que vous lui aurez éventuellement apprises au préalable :
"Peux-tu éplucher et laver la salade ?"
"Regarde au four si le rôti te semble presque cuit."
"Tu peux ouvrir le paquet de jambon et disposer quelques tranches sur un plat avec un œuf dur que tu couperas en rondelles, et quelques cornichons" ;
"Peux-tu faire chauffer le petit pot alimentaire pour la petite ?"
"J'aimerais que tu essuies la vaisselle" ou "Peux-tu débarrasser la table et tout mettre au lave-vaisselle ?" Etc., etc.
Il vous suffit d'OSER et de rester souriante et détendue. Essayez quelque temps de répondre à l'agressivité et aux piques par une indifférence complète, détendue et, à la limite, souriante. Il en sera désarmé. Tandis qu'en vous voyant réagir au quart de tour, il voit "que ça marche" et continue.
Maintenant, si vous ne l'aimez plus, si vous êtes certaine qu'il est trop tard, qu'il vous est peut-être infidèle, qu'il ne vous apporte aucune tendresse, même au lit, – alors, bien sûr la situation est plus sérieuse. Mais à mon sens, vous pouvez encore faire un essai, fut-ce pour le bonheur futur de votre fille…
Pour découvrir toute une série de techniques et d'idées à la fois concrètes et simples à mettre en œuvre, prenez une décision, celle de vous documenter sur la vie de couple et la façon de la gérer au mieux, dans tous ses aspects. Pour cela, vous serez étonnée de l'impact positif de lectures spécialisées, comme par exemple, celle de mon programme.
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Vous verrez, ce livre rafraîchissant vous fera envisager votre relation d'un œil neuf. COMMANDEZ-LE maintenant : vous donnerez un second souffle à votre vie de couple !

Ce livre électronique vous révélera un large éventail de solutions logiques, simples, concrètes, faciles à appliquer au quotidien et surtout efficaces, pour 'booster' votre vie de couple, - dans tous les domaines. Revivre avec votre aimé(e) la passion, l'enthousiasme et le romantisme de vos premiers rendez-vous est aussi à votre portée.
Informez-vous, "ça ne mange pas de pain" et ça vaut le détour !

Problème : « Je ne sais pas faire l'amour. À chaque fois, je n'arrive pas à satisfaire mon partenaire. Svp, que faire ? » Régine (Cameroun)

Si votre message est sérieux, rassurez-vous :
1. Ça s'apprend ! Comme le dessin, les maths ou les langues, certain(e)s sentent instinctivement comme faire, d'autres ont plus de mal au début. Mais, en s'informant et en décidant d'agir pour appliquer les solutions, le résultat sera bien vite à la mesure de vos espoirs.
2. Quand une jeune femme n’a pas encore vécu d’expériences, le rôle du partenaire est essentiel. Il se doit de la rassurer, d'abord par sa tendresse et aussi en la valorisant. S’il a davantage d'expérience, c'est à lui de guider sa partenaire avec délicatesse, en communiquant, en exprimant ses propres attentes et en lui faisant des compliments réguliers sur ses progrès.
3. Pour le reste, quelques grands principes sont à observer, comme :
• vous montrer active, avoir des initiatives tendres et coquines, le surprendre ;
• OSEZ ! Laissez parler votre nature profonde ;
• Si vous êtes vraiment amoureuse, n'hésitez pas : laisser tranquillement tomber toutes vos pudeurs, vos tabous, vos réserves ou vos idées négatives (par exemple sur l’une ou l’autre particularité physique : "je suis trop comme ci, pas assez ça…", etc.). Souvenez-vous en effet, que personne n’a un physique parfait et qu’entre adultes consentants normaux qui s'aiment, rien n'est "sale", – pour autant bien sûr, qu'aucun des partenaires ne piétine la "dignité de personne" de l'autre. Un exemple ? Certains hommes adorent que leur aimée… se caresse sous leurs yeux et sous leurs lèvres. Il n’y a rien de pervers ou d’anormal à cela, – même si c’est intimidant les premières fois.
• Gardez à l'esprit que faire l'amour doit toujours rester amusant, conserver un caractère ludique, – donc il convient de vous donner à fond à ce que vous faites, sans réfléchir à autre chose et aussi... d’EN AVOIR VRAIMENT ENVIE, AVEC votre partenaire actuel…
• La moindre forme de contrainte de part ou d’autre, casse la magie du moment ! Pour avoir une meilleure impression de vous après vous être donnée à lui, il est donc très souhaitable que votre "complice" soit aussi amoureux, tendre et attentif à votre plaisir…
• Etc.
Ce que je viens de vous citer ici est, bien entendu, largement détaillé, dans mon livre électronique : vous y trouverez tout un éventail d'idées pratiques et de "techniques" utiles, faciles à mettre en œuvre pour améliorer votre vie sexuelle à tous les deux et d’abord, votre façon de communiquer pour parvenir à une entente harmonieuse et épanouissante.
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Problème : « Marié depuis 4 ans, mon mari est obsédé par son travail. Son caractère est trop vif, très macho. Il n'aime pas rester à la maison, on se voit peu. Il ne supporte pas les demandes d'explications : c'est "sa vie privée" ! Au contraire, lui se mêle de tout ce qui bouge autour de moi. Nous faisons le même travail de commerciaux mais il m'interdit de m'adresser aux hommes, collègues, clients, etc. Cette attitude est insupportable pour une femme instruite et indépendante. Je souhaite divorcer mais il me dit que c'est impossible "parce qu'il m'aime". Pourtant, il refuse radicalement de changer. Que faire ? Merci de votre aide. » Samantha (Portugal)

Je comprends parfaitement votre indignation devant cette injustice constante et votre légitime désir de vous séparer de votre mari. Je crois, comme vous, qu'il n'y aura pas moyen de le faire changer de comportement ni de mentalité : son éducation l'a conditionné ainsi, il se croit supérieur, il se croit le maître de sa femme.
Quand il parle "d'amour" (??), il confond tout à fait ce sentiment exaltant avec un banal désir de possession exclusive de sa femme, – comme on peut posséder un animal domestique !
Pour une femme "indépendante" (?), vivre dans ces conditions est bien sûr incompatible avec le bonheur et l'épanouissement auxquels elle a le droit d'aspirer.
S'il existe une petite chance de l'amener à modifier ce point de vue d'un autre âge, ce serait en complétant son information sur la vie de couple, en lui faisant réaliser comment les personnes normales, au 21e siècle, conçoivent la vie à deux. Mais pouvez-vous espérer le voir lire, fut-ce un livre exposant ces idées actuelles ? Pouvez-vous espérer de lui l'effort d'ouvrir son esprit à un point de vue différent ?
Enfin, vous pouvez bien entendu essayer, tenter de lui expliquer, par exemple, les principes et devoirs de tout homme envers celle qu'il a choisie. (Ils sont largement détaillés dans mon livre...)
Les machos sont persuadés de leur bon droit, d'être supérieurs, d'avoir toujours raison. Ils considèrent leur femme comme un objet utile, qui a des devoirs (leur obéir, faire le ménage et la cuisine, s'occuper des enfants, rester à la maison le plus possible pour toujours travailler, "ouvrir les jambes" quand ils le souhaitent, etc.). Mais ils ne leur accordent aucun droit réel, fut-ce, par exemple, celui de pouvoir penser différemment de leur "seigneur", d'avoir leurs opinions, leurs points de vue personnels.
De tels hommes ne voient aucune raison de passer du temps à penser au bonheur (et au plaisir !) de leur femme : à leurs yeux, un seul être est important dans le couple, eux. Le seul rôle de leur femme ? Servir.
Ils apprécient donc une femme peu instruite, qui ne "perde" pas de temps à réfléchir, qui ne pense pas, qui n'ait pas d'espérances, qui leur soit entièrement soumise, en trouvant ça normal, puisque c'est ainsi que leur mère et leur grand-mère ont vécu, dans la conviction de l'éternelle supériorité masculine…
Consultez un avocat et refaites votre vie, auprès d'un homme plus ouvert, qui saura, lui, apprécier vos qualités, votre esprit d'indépendance et aura le souci de construire avec vous une vraie vie de couple.
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Problème : « Mon fiancé est furieux, ne comprenant pas pourquoi je n'ai pas rompu bien plus tôt tout contact avec mon ex-, qui était resté mon ami et s'est immiscé dans notre couple. Je vis encore chez mes parents mais quand j'aurai 18 ans, je veux partir pour toujours avec mon fiancé, en Italie. Pourtant, ces problèmes avec mon ex- ont rendu mon fiancé agressif et arrogant. Il râle aussi quand il pense à mon passé. De plus, il s'entend très mal avec ma mère. Tout cela me fait douter, je ne sais plus si j'ai vraiment envie de partir, car ma mère reste ma mère ! Ça me perturbe très fort. Lui meurt d'envie de m'emmener pour, soi-disant, être loin de ma mère. Il veut que je choisisse entre lui et elle. Mais c'est ma famille, même si lui est mon grand amour. Je ne sais plus quoi faire, il m'arrive même de penser au suicide. Je me sens tomber dans la dépression, je n'en peux plus de vivre comme ca. Merci pour votre réponse. » Jeaninne (Suisse)

1. À 17 ans, il n'y a pas le feu !!!
2. Comme vous l'écrivez justement, votre mère reste votre mère. Si votre "fiancé" est dès maintenant agressif, possessif et jaloux de votre passé, quelle sera donc son attitude après quelques mois, quand l'habitude aura causé ses premiers ravages, que la passion du début aura tiédi ? Vous "bouclera"-t-il ?
Ne prenez pas de décision hâtive, surtout celle de partir loin, car vous n'avez aucune certitude quant à l'avenir et votre famille ne tardera pas à vous manquer.
3. Engager son avenir, au loin, avec un homme, à votre âge, est un risque évident – surtout si c'est un jaloux : il vous l'a montrée, sa vraie nature ; vous laissera-t-il un peu de liberté ?
4. Il semble indispensable d'apprendre d'abord à le connaître à fond, votre copain ! Il a aussi ses défauts, – même si vous le qualifiez aujourd'hui de "grand amour". Avant de partager sa vie pour longtemps, découvrez ses faiblesses et voyez si vous pourrez les supporter.
5. Autre point important, partagez-vous les mêmes idées, les mêmes valeurs, si vous ferez des activités ensemble, grâce à des centres d'intérêt communs. Avez-vous des projets concrets, à vous deux ?
6. En vous interrogeant lucidement, vous déterminerez si votre amour ne se base pas surtout sur votre attirance physique mutuelle. Vous le réaliserez bien assez tôt, une passion physique, c'est merveilleux certes, mais c'est fragile ! Elle ne dure pas très longtemps : habitude, routine, train-train quotidien arrivent bien vite, si la seule chose qu'on aime faire ensemble est l'amour. Quand tiédit le désir, que reste-t-il de la relation sans une bonne entente, une vraie complicité sur bien d'autres points ?
Comment être sûre, par exemple, qu'après un certain temps, il ne préférera pas sortir souvent seul avec ses amis, vous laissant "alla casa coi bambini" ?
7. Votre message donne l'impression d'une charmante mais dangereuse insouciance. Il est très bon de se sentir aimée, de se dire qu'on va partir et changer de vie. Mais... que savez-vous exactement de la vie que vous mènerez, là où vous irez ? Comment prévoir par exemple, la qualité de relation que vous établirez avec... votre belle-mère et comment elle évoluera ?
Le doute que vous exprimez est donc normal : votre instinct vous fait réaliser que vos parents sont tout de même bien précieux et que vous ne devez RIEN précipiter, mais garder la tête froide, lucide.
8. Vos descriptions sont si claires qu'on en reste sidéré. La plus inconcevable est cette demande, à vous, jeune fille de 17 ans, de "choisir" entre lui et votre mère ! Je n'aime jamais porter de jugement mais dans votre cas, comment ne pas trouver choquante cette attitude, aussi profondément égoïste qu'immature. Au contraire d'une preuve d'amour, c'est la marque d'un désir forcené de possession, – la nuance est énorme.
Ne serait-il pas naïf, après ça, de croire que vous pourrez durablement lui faire confiance ?
9. Conclusion : avant d'agir, pesez avec soin votre décision ; réfléchissez-y longuement. Vivre avec lui quelque temps vous permettra de réaliser s'il veut vraiment construire une vie de couple avec vous, se montrant solidaire dans les tâches de la maison, pensant à vous rendre heureuse sur le long terme. Pour voir aussi s'il peut exprimer sa tendresse autrement que dans les rapports sexuels ; s'il écoute vos attentes ; s'il aime vous faire plaisir; s'il est décidé à travailler dur, pour assurer l'avenir de sa famille ; etc.
10. L'autre impression que donne votre message est un fort manque d'information sur la vie de couple. Documentez-vous par des lectures spécialisées, elles vous aideront à voir plus clair en vous et en lui – mais, de grâce, ne "foncez" pas têtes baissée dans une dépendance qui vous pèsera et que vous ne tarderez pas à regretter, surtout si vous êtes loin de vos parents et de vos racines.
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Problème : « J'ai 3 enfants. Je travaille et je dépense tout mon salaire pour le ménage. De son côté, mon mari a démissionné de notre vie de couple ; il vit comme s'il était encore célibataire. On ne fait plus l'amour depuis longtemps ; c'est frustrant pour moi : j'ai 35 ans (lui 50). Il est toujours avec ses amis. Je ne sais pas à quoi il dépense son salaire. Je voudrais améliorer cette situation mais il est imperméable à toute communication. Je pense sérieusement à divorcer. Auriez-vous un conseil ? Merci. » Simone (Tunisie)

Je comprends très bien votre frustration et votre indignation bien légitime, devant ce comportement de votre mari. Si, comme vous l'écrivez, il semble avoir complètement démissionné de ses responsabilités de mari et de père, cette attitude est, il faut bien le dire, inadmissible ; je comprends donc votre désir de séparation.
Cependant, si vos enfants sont encore fort jeunes, cette situation peut être fort pénible pour eux. De plus, une séparation suppose des arrangement financiers. Or, il est tout à fait possible que votre mari néglige aussi ses obligations futures envers ses enfants. Si votre salaire doit vous faire vivre tous les quatre, ce ne sera pas toujours simple.
Donc, dans un premier temps et si vous l'aimez encore un peu (!), il semble préférable d'encore essayer de lui... parler. Pour lui expliquer, calmement et en détail, la situation telle que vous la ressentez.
Ensuite, il n'est plus question que vous vous laissiez faire : ce n'est pas à vous de pourvoir à toutes les dépenses de la famille, si lui consacre son salaire à sortir avec des "amis".
En outre, s'il ne vous accorde plus aucune intimité, il est fort possible qu'il soit infidèle, – ce qui coûte toujours beaucoup d'argent en cadeaux, etc.
Je vous suggère d'ouvrir un compte en banque à votre nom personnel sur lequel sera versé votre salaire. Quand vous aurez une dépense à faire pour toute la famille, il vous suffira de lui demander sa participation.
Autre point important, écrivez sur un papier tout ce que vous voulez lui dire. Ainsi vous n'oublierez rien. MAIS, si vous voulez qu'il vous écoute, il y a quelques conditions à respecter :
• aucun reproche direct ni critique, ni "jugement" ;
• rester calme et digne, sans crier, ni utiliser un ton agressif est toujours bien plus efficace ;
• une bonne idée est de vous asseoir près de lui quand il vous semble "relax" ; vous lui offrez par exemple, un verre de thé et vous lui expliquez seulement ce que vous ressentez. Donc, vous tournez vos phrases de manière à ne jamais utiliser le mot TU. Vous lui dites plutôt des phrases comme, par exemple :
• "Je me sens très malheureuse parce que nous n'avons plus de vie de couple ni même de vie intime" ;
• "J'aimerais aussi ne plus être seule à supporter toutes les responsabilités familiales" ;
• "Je serais rassurée de savoir que les enfants et moi, nous comptons encore" ;
• "Je souffre d'être toujours seule à la maison : j'aimerais que nous ayons des activités ensemble" ;
• "Je serais plus heureuse si j'avais l'impression que les enfants et moi, nous sommes encore importants, si je nous sentais aimés..." ;
• "J'ai de la peine quand je regarde ma vie : je ne me sens pas aimée ni appréciée." ;
• "Je voudrais sentir de l'intérêt et un peu d'amour pour nous, dans les yeux de celui qui compte tant pour moi et pour les enfants !"
• "Je ne supporte plus cette vie de souffrance et d'indifférence" ;
• "Je pense sérieusement à divorcer". Etc.
Ces phrases sont des exemples pour vous montrer qu'il y a moyen d'expliquer les choses sans accuser. Votre mari ne pourra pas s'emporter ou vous en vouloir de lui parler de votre chagrin : vous n'émettez aucun jugement, aucune critique, vous expliquez seulement VOTRE souffrance.
Maintenant, pour être sincère avec vous, je ne suis pas certain, s'il est infidèle, qu'exprimer votre souffrance, vos frustrations, votre sentiment de profonde injustice, suffise à le faire changer de route. Dans ce cas, il faudrait en effet vous adresser à un(e) avocat(e) et lui faire part de vos soupçons d'infidélité. (Si, à seulement 50 ans, on ne touche plus sa jeune femme, c'est en général, parce qu'on pense à d'autres yeux...)
S'il vous reste un espoir de le convaincre, la lecture de mon livre électronique, que vous avez vu présenté sur mon site Internet, vous aidera aisément tous les deux, à acquérir d'autres points de vue sur la vie de couple et les moyens de lui redonner de la force et de l'harmonie.
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Problème : « J'aime ma femme. Nous sommes mariés depuis 15 ans et avons 3 filles. Elle souffre de crises d'angoisse et est suivie par un psychiatre. De plus, nous suivons une thérapie chez un psychologue. Ses troubles seraient dus à la complète disparition de son amour pour moi et de sa libido. Ai-je selon vous, une possibilité de rallumer son amour pour moi et comment ? Voilà des mois que je souffre ; je pense à la séparation mais je ne veux pas perdre la possibilité de voir mes enfants grandir ! » Victor (Italie)

1. Un point est très positif : vous aimez votre femme et vos filles, que vous voulez voir grandir sans leur infliger la souffrance d'une séparation.
2. Mais dans votre message, vous ne citez pas la cause de cette perte d'amour et de libido, – l'origine exacte de ses angoisses. Ce sont là évidemment, deux éléments essentiels pour une réponse concrète.
3. À côté du "manque d'amour", bien des motifs peuvent entraîner la perte de libido féminine :
• un dérèglement du métabolisme hormonal (thyroïde, œstrogènes, hormones mâles) ;
• des problèmes psychologiques, parfois durables, liés, par exemple, à un accouchement difficile, à une déception conjugale ; à une agression ; à une ménopause précoce ; à une prise de poids qui donne des complexes ; à un esprit "troublé" par une autre personne ; à un état dépressif causé par un surcroît de travail ou de responsabilités ; etc. Ou encore, des impressions, – plus ou moins justifiées. Comme :
• de l'indifférence de la part du mari ;
• une possible peur de l'abandon ;
• l'absence de réponse à ses attentes ;
• un manque de surprise, de fantaisie dans sa vie ;
• le sentiment de n'être plus séduisante, – ou plus du tout séduite ;
• une disponibilité insuffisante du mari ;
• une profonde lassitude, due à la routine ;
• un sentiment d'injustice, dû à des manques ou des excès dans la vie conjugale...
(Voyez mon article à ce propos : 28 "clés".) Je pourrais continuer ainsi pendant dix pages, Victor !...
Donc, si vous voulez résoudre le problème, il convient à présent d'AGIR. Et d'abord, il vous sera très utile de... compléter votre information sur tous les moyens qui existent pour améliorer la qualité de votre vie de couple dans ses différents aspects. Par exemple :
• acquérir les techniques simples qui existent pour améliorer la communication entre vous et la rendre facile, naturelle, en la débarrassant de toute gêne ou crainte et des non-dits et sous-entendus inutiles ;
• réaliser combien il est souhaitable, pour vivre en harmonie, d'exprimer ses sentiments et ses attentes, tout en écoutant et en répondant aux attentes de l'autre ;
• comprendre comme il est positif de veiller sans cesse à montrer son intérêt pour la vie quotidienne, les joies, les soucis, les interrogations de sa moitié ;
• penser à la/le surprendre, à rire ensemble, à pimenter la vie familiale de fantaisie pour briser la routine ;
• comprendre la valeur du respect dû à la personne de l'autre, à ses idées, opinions et points de vue ;
• réaliser la nécessité de fréquents compliments (sincères et mérités), pour la/le valoriser ; etc., etc.
Victor, ces divers points, nous les connaissons tous, – mais, après quelques années, nous avons aussi d'autres "priorités" et nous ne pensons plus à les appliquer : inconsciemment, on s'imagine que tout est définitivement "acquis"... Ce qui n'est jamais le cas. Mais ni nos parents ni l'école ne nous ont inculqué ces principes élémentaires, que nous ne pouvons pas toujours deviner seuls.
En résumé, je pense que oui, vous pouvez reconquérir votre épouse et retrouver un climat familial serein si vous vous impliquez avec force dans le but d'assurer son bonheur et celui de vos filles.
MAIS, plus encore que de passer des heures à vous "déballer" chez un psy (ils préfèrent d'habitude les "explications" aux solutions concrètes), il serait bon à présent pour vous de passer à l'action, de vous documenter, de prendre connaissance de techniques que vous pourrez mettre en pratique dans la vie quotidienne : alors vous verrez très rapidement votre entente évoluer. En premier lieu, parce que tout ce que votre femme n'ose peut-être pas vous dire explicitement, finira par sortir, quand elle se sentira rassurée et en confiance. Ensuite, parce qu'en prenant connaissance de certains changements mineurs d'attitude que vous pourriez adopter envers elle, notamment dans l'intimité, elle découvrira un "autre" Victor, qui pourrait bien l'intéresser à nouveau !
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Problème : « Un grand problème de communication et de compréhension ! » Fanny (Belgique)

Votre brève analyse prouve que vous réalisez l'importance d'une bonne et franche communication : c'est la pierre angulaire de toute relation de couple, – si on la veut harmonieuse et durable...
Heureusement, ça s'apprend. Il existe des techniques simples, faciles à mettre en pratique et très efficaces. En effet, une communication difficile empoisonne votre vie de couple, – jusque dans les moments d'intimité !
Aussi, semble-t-il logique de vous suggérer, en premier lieu, de compléter votre information sur la vie de couple, ses divers aspects, ses pièges faciles à contourner et les façons de l'améliorer dans les différents autres domaines qui la constituent, par exemple :
• le partage d'activités, de centres d'intérêt communs, de projets, d'engagements, de responsabilités, etc. ;
• l'empathie qui conduit, justement, à la compréhension ;
• le respect et la valorisation fréquente de l'autre ;
• l'expression des sentiments (tendresse...) ET des attentes respectives ;
• la confiance réciproque qui fait qu'on se sent aussi de vrais amis ;
• une authentique harmonie intime, – pas celle qui ne relève que du désir physique (il tiédit avec le temps !) mais qui concrétise un amour profond et confiant, celui qu'on ressent quand on se connaît mieux et qu'on est "bien ensemble"...
Si vous consacrez tous les deux quelques heures à vous documenter sur ces questions, vous trouverez bien plus faciles les rapports entre vous : vous aurez compris comment désamorcer les tensions et gérer vos différends, sans agressivité et sans frustrations.
Ce que vous vivez n'est pas anormal : personne, ni l'école ni nos parents, ne nous apprennent comment créer et entretenir de bons rapports de couple (on croit volontiers que l'attirance physique du début suffit). Or, ça ne se devine pas forcément tout seul...
Jetez un coup d'œil à la table des matières de mon livre électronique que vous avez vu présenté sur mon site Web: 'Sommaire & introduction'. La lecture de cet ouvrage vous aidera de manière très concrète. SOMMAIRE     QUESTIONS OU COMMENTAIRES  

Problème : « Nous sommes en couple depuis 10 ans et avons toujours eu un problème de communication. Nos caractères sont très différents : je suis très timide, lui pas du tout. Nous avons eu tous deux 'le coup de foudre' et je suis sûre que nous nous aimons encore mais le manque de discussion f... tout en l'air ! Notre couple est toujours passé avant nos disputes. Nous avons 2 enfants en bas âge, deux 'accidents' et contre son gré... Ces grossesses furent un enfer : je devais tout faire (même sortir son chien) et il se plaisait à raconter que je 'ne lui avais pas demandé'. Il me prend pour sa bonne parce que, ayant perdu mon emploi, je reste à la maison (2 ans d'attente dans les crèches et gardiennes de la région). Il me fait des reproches en public et si on prend ma défense, pour lui c'est que j'ai été me plaindre. Ma propre sœur qui s'entend bien avec lui, répète aux autres que je 'râle constamment' et 'ne suis jamais contente'. Jamais il ne m'accompagne dans la famille, préférant ses copains. Certes, il lui arrive d'avoir des gestes attentionnés, de m'offrir des cadeaux mais je n'en peux plus. Je suis en train de craquer et ai même pensé partir, sans succès car je l'aime encore. Je veux sauver mon couple, parler avec lui, mais, terrassée par le chagrin, je perds mes moyens le moment venu et n'y arrive pas. SVP, AIDEZ-MOI à trouver une solution. Merci » Josiane (Belgique)

Rassurez-vous, des moments de déprime comme celui que vous traversez sont fréquents chez les mamans de petits enfants. Justement parce qu'elles n'ont jamais un moment à elles, si leur mari est un peu macho et ne se montre pas assez solidaire. Il est alors normal que la coupe déborde.
Je connais bien ce problème, car plusieurs de mes correspondantes de coaching l'ont rencontré. De ce fait, je réalise et comprends très bien votre désarroi.
Comme vous l'avez parfaitement analysé, le nœud du problème réside dans la communication, qu'il serait impératif d'améliorer sans tarder… Il existe des techniques pour cela, développées dans mon bouquin que vous avez vu présenté sur mon site. Mais d'abord, il faut OSER ; ça s'apprend ! Par petites étapes, régulières, en vous concentrant un petit peu, vous pouvez très bien parvenir à tourner vos phrases autrement. C'est-à-dire à supprimer toute forme de reproche, en commençant vos phrases, simplement, par le mot "JE" et non plus "TU"… !
Au lieu de souligner ses attitudes qui vous déplaisent, vous lui exprimez votre ressenti, ce que vous éprouvez par rapport à ce qu'il a fait ou dit, par rapport à ce que vous auriez espéré. En bref, au lieu de lui reprocher quoi que ce soit, vous lui expliquez la peine que vous éprouvez et vous lui expliquez vos attentes.
Si vous exprimez seulement votre sentiment, votre déception, vos impressions, elles sont impossibles à contester. Ainsi, il ne décèlera dans vos propos, ni reproche, ni critique, ni jugement.
Vous serez étonnée comme ce procédé tout simple est remarquablement efficace après quelques jours et dénoue les tensions.
Deuxième point important : n'allez pas imaginer que votre mari "se tue au travail", – à moins bien sûr d'être écrasé d'importantes responsabilités et d'être alors l'exception qui confirme la règle. Les mœurs de notre société belge ont bien progressé, côté masculin ; s'il existe une catégorie de personnes surmenées, ce sont les mamans de jeunes enfants, – en particulier si elles sont en plus, infirmières.
DONC, n'hésitez plus à demander à votre conjoint, en souriant, de vous donner un coup de main mais en lui expliquant dans le détail ce que vous aimeriez : personne n'est plus maladroit et manchot qu'un homme qui a oublié l'importance de la solidarité en couple et de la bonne volonté !
Autre "secret" que je vous suggère d'appliquer dès aujourd'hui : chassez vos peurs ! Elles n'ont pas lieu d'être (sauf si votre mari est violent mais alors il n'y a pas d'autre solution que la rupture…).
Par exemple, comprenez que vous êtes son égale, qu'il est essentiel de pouvoir compter sur son respect, sa considération, ses compliments occasionnels. Il n'y a donc aucune raison de lui faire des cachotteries ou des mensonges : vous êtes une adulte, mère de famille, vous pouvez assumer vos actes. OSEZ !
Dernier point pour aujourd'hui : ce type de crise de couple est, faut-il le souligner, extrêmement fréquent après quelques années ; vous devez être du genre "coulant" et (trop) soumise. Aussi avez-vous attendu pour "éclater" d'être surmenée par les enfants et l'absence de considération envers les nombreuses tâches que vous effectuez. On ne peut que vous féliciter d'avoir résisté si longtemps.
je suis certain que la lecture de mon livre électronique vous aidera énormément tous les deux : votre mari manque cruellement d'information sur les moyens de se construire une vie de couple harmonieuse !
Si vous surmontez progressivement votre "timidité" vous réaliserez vite que sa considération progresse, que vous parlez mieux et que vous pourrez discuter "en amis", entre autres de vos lectures.
Courage, "haut-les-cœurs" ! Certes, c'est là un passage délicat à franchir, mais vous pouvez y parvenir si vous agissez : la solution est d'abord… en vous !
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Problème : « Je vais me marier mais je n'ai aucun désir pour le sexe féminin. Je n'ai jamais couché avec une fille. J'ai 39ans, j'ai couché une fois avec un garçon et ça s'est bien passé. Maintenant, j'ai peur du jour du mariage (juillet). Que dois-je faire ? Aidez-moi, svp, merci. » Mouloud (Tunisie)

Votre message révèle un profond malaise ? bien normal ; vous le réalisez certainement, il est donc inutile de vous conseiller d'abord l'honnêteté vis-à-vis de vous-même et vis-à-vis de votre future femme. En effet, c'est le bonheur de tous les deux qui est ici en jeu.
Si votre nature vous pousse plutôt vers l'homosexualité, vous avez droit à la différence. Toutefois, votre future femme, elle, a aussi un droit : celui de le savoir. Si vous n'avez aucun désir pour les femmes, cela veut dire qu'elle sera toujours malheureuse à vos côtés…
Conclusions : 1. Il semble impératif de lui dire la vérité, notamment sur le fait que vous n'avez jamais connu de femme et sur vos craintes à l'idée de ce mariage.
2. Il pourrait s'avérer très utile et positif de "faire un essai" d'intimité avec elle. Si, dans ses bras, vous découvriez tout à coup de l'intérêt et du désir, votre vision pourrait changer, – en particulier, si c'est une femme tendre, compréhensive et si elle a de vrais sentiments pour vous.
3. RIEN NE PRESSE : ce n'est pas en quelques semaines que vous pourrez opérer un "virage à 180°". Il semble très nécessaire de les persuader, elle et vos proches, de retarder absolument la date de cet éventuel mariage !!!
4. Mouloud, à 39 ans, vous avez la maturité suffisante pour pouvoir assumer ce qui pourrait être votre vraie nature. Ne vous laissez pas dicter votre conduite par "ce que vont dire ou penser" votre famille ou "les autres". Pourquoi ?? Mais parce que ce sont votre bonheur futur à tous les deux et la paix de votre avenir commun qui sont en jeu. Votre vie, Mouloud, dépend de VOS choix. C'est votre vie, il vous appartient à vous seul (et non à vos proches) de décider et de vous tenir à vos choix…
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Problème : « J'ai des problèmes de couple comme tout le monde. Ensemble depuis 2 ans et demi, nous cohabitons depuis 9 mois. J'ai l'impression que nous sommes un couple de 20 ans. Il ne montre guère ses sentiments ; des amies ou ma sœur peuvent lui tenir le bras, il ne dira rien. Mais moi, quand je veux lui donner la main, il me dit "dégage". Il me répète sans cesse que je suis grosse, me balance des piques devant mes amis, comme quoi je dois suivre un régime. Les câlins au lit n'existent plus. Au niveau du ménage, il m'aide un peu mais je me fais engu... comme une m... quand j'ai oublié de faire quelque chose. Quand je lui explique tout cela, il nie en bloc, ne m'écoute pas. Je le lui explique calmement mais il me rembarre. Je n'ai plus l'impression que nous sommes un couple et pourtant je l'aime et je sais qu'il m'aime. Mais si ça continue, je sens qu'il ne va pas durer. Merci pour vos conseils, j'en ai vraiment besoin : je ne sais plus que faire, comment réagir. » Sabine (Suisse)

Bien des hommes il est vrai, sont (de manière souvent exagérée) très sensibles au look et à la silhouette de leur compagne. Certes, c'est hautement regrettable mais c'est ainsi et ce travers peut entraîner chez eux une chute du désir et même des sentiments. J'ai écrit un court article sur le sujet ; cliquez ici pour le lire.
Selon votre description, il semble que soit apparue une certaine lassitude de son côté ; je ne suis pas aussi sûr que vous qu'il vous aime autant que vous l'aimez. Un signe révélateur de cet état d'esprit étant l'absence de vie intime que vous déplorez.
Peut-être en effet, pourriez-vous de votre côté, faire un net effort de communication, en lui demandant de vous indiquer dans le détail, ses diverses attentes profondes : il est toujours très positif de "mettre tout à plat". En vous engageant à y répondre, vous pourriez ainsi lui demander en échange, de répondre à certaines de vos attentes. Rien de tel qu'un échange de concessions pour parvenir à des compromis satisfaisants pour les deux !
Si son attention est focalisée sur votre silhouette, aussi déplaisant que cela puisse vous paraître, "qui veut la fin veut les moyens"… Donc, si vous voulez le retrouver, il pourrait s'avérer utile de commencer par suivre un régime, FACILE et peu contraignant, comme par exemple, celui-ci. (Ce programme semble intelligent et équilibré.)
Ensuite, sur un plan plus général, vous pourriez aussi compléter votre information sur la vie de couple et les attitudes à privilégier (communication, partage, expression des sentiments…) ou à éviter (jugement, critiques, reproches, agressivité, ...)
En adoptant une série de techniques simples et efficaces, vous pouvez facilement retrouver un niveau satisfaisant d'équilibre et d'harmonie dans votre vie de couple. Pour y parvenir, il ne vous faut pas grand-chose : un peu de bonne volonté, un peu de persévérance, beaucoup de dialogues, davantage d'activités ensemble, de projets communs et bien sûr, exprimer votre besoin de tendresse.
Ces idées et ces suggestions, vous en trouverez un grand nombre dans le livre électronique que vous avez vu présenté sur mon site Internet. Lisez-le, parlez-en tous les deux, appliquez dans votre vie quotidienne les moyens proposés : ils ont fait leurs preuves dans le monde entier ! Vous serez stupéfaite des rapides progrès de votre entente.
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Problème : « Ma compagne a 3 ans moins que moi et a un complexe : elle a un niveau plus bas que le mien et essaie toujours de me montrer qu'elle est forte. Elle fait des erreurs, beaucoup même ; elle agit agressivement, ne montre aucune tendresse et me comprend mal. Dès qu'il y a un problème, elle devient une véritable furie et elle boude. Des fois, elle rejette la faute sur moi, me traitant d'égoïste qui se plaint sans cesse. Est-ce normal, ces disputes continuelles, après 15 mois de vie commune ? Aidez-moi, s'il vous plait. » René (Guadeloupe)

Qu'entendez-vous par "niveau plus bas" ?? Social ? Intellectuel ? Diplômes ? Éducation ? Expérience ?? Il est difficile de baser une relation de couple sur des critères aussi subjectifs… Ce ne sont pas les "valeurs essentielles" qui guideront votre vie.
Par contre, si elle est vite agressive et boudeuse, sauvez-vous ! Si vous avez de fréquentes disputes déjà maintenant, que sera-ce dans 5 ans ??
Ces défauts, comme aussi la susceptibilité, traduisent un manque de confiance en soi et divers complexes d'infériorité. Malheureusement, ils ne font qu'empirer avec les années. Si vous l'aimez vraiment ou croyez l'aimer, il serait bon alors d'apprendre d'abord à mieux communiquer avec elle, plus complètement ; à partager davantage de goûts, d'activités, de projets, etc.
Vous retireriez aussi chacun, un grand profit à compléter votre information sur la vie de couple et les attitudes à privilégier (ou à éviter). Car, construire sa vie aux côtés d'une personne très susceptible, vite agressive, laisse prévoir des moments difficiles, souvent amers et bien des désillusions. Ceux qui souhaitent votre bonheur doivent sûrement vous suggérer d'éviter une décision trop rapide qui vous engagerait pour longtemps.
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