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Solutions à vos problèmes de couple :
la violence dans le couple

                                                       © 2002-2020 - Ivan Greindl

Préalable absolu :
la violence physique en couple, n'est jamais excusable. La dévalorisation répétée de l'autre, la maltraitance psychologique, sont déjà des violences graves et un inadmissible scandale, – qui dérape trop souvent en gifles puis en coups.

Second point à bien garder à l'esprit, une femme (plus rarement un homme...) qui "accepte" la violence, qui "laisse faire" sans immédiatement y couper court, finit toujours par :
• ressentir, à tort, de la honte – parfois de la culpabilité ;
• abdiquer sa dignité et
• se résigner bien à contrecœur à son sort, comme s'il était inéluctable. La victime en arrive à croire que c'est "tout ce qu'elle mérite", "qu'elle n'a rien d'autre à espérer..."

La conclusion logique s'impose. Et c'est la seule... : pour interrompre le cycle perpétuel de la violence conjugale, brider ce faux sentiment de culpabilité, il convient d'agir et, en premier lieu, de déposer plainte.
Comme pour l'alcoolisme, il est très difficile et très rare de sortir définitivement de ses accès de violence, – aussi bien pour une femme que pour un homme. À la première récidive, la seule issue viable est l'éloignement : chacun n'a-t-il pas droit au bonheur, au calme, à la paix ?

Il faut l'admettre, appeler à l'aide, exposer la situation à une personne qui vous écoute, ces bouées de sauvetage ne suffisent pas. Si une écoute amicale aide à retrouver de la force intérieure, de l'assurance et l'estime de soi, il reste à trouver en soi-même l'énergie, la réelle motivation et la volonté, nécessaires à "franchir le pas". Négocier un tournant important dans sa vie est toujours un choix complexe.
(Il vaut mieux continuer sa vie en étant seule quelque temps, que risquer de la perdre ! Rien qu'en France, tous les deux jours, une femme meurt sous les coups de son conjoint.)

Réfléchir posément, se poser les bonnes questions (voyez à la fin de l'article), permet une prise de conscience salutaire : vivre dans la crainte de coups ou de violentes colères n'est pas normal ; il importe que cela change – même si cela implique certains renoncements.
Alors doit se produire le déclic : un sursaut de force morale chasse hésitation et désespoir, place un pied devant l'autre pour s'engager dans l'action concrète.

Les fréquentes colères et réactions violentes de votre partenaire, – suivies de protestations d'amour et de regrets parfois sincères, vous déconcertent ? Vous recherchez des informations pour faire cesser cette situation, pour rétablir entre vous un climat équilibré ? En particulier, vous regrettez ces moments trop nombreux d'agressivité où cris et insultes éclatent sous l'effet de la colère ? Vous redoutez que suivent les gifles ou les coups ?
Mais peut-être souhaitez-vous faire encore un dernier essai, lui donner une dernière chance ?

O.k., mais s'il y a eu des coups, négliger les précautions indispensables vous mène "droit dans le mur" ! Comment agir ? Trois étapes sont incontournables :
• obtenir un certificat médical attestant des violences physiques subies ;
déposer une plainte au bureau de Police, afin d'y laisser une trace administrative ;
• consulter d'urgence un avocat (il existe des bureaux d'assistance juridique gratuite).

Vous hésitez ? Vous redoutez qu'une plainte ne redouble sa colère et les coups ?
Alors, il risque d'être déjà trop tard..., comprenez-le. Il est temps de recourir à l'aide de vos proches ou de vous adresser à une association, un foyer ; prenez vos affaires (et vos enfants s'il y en a) et quittez les lieux. Il est vain de chercher une autre voie, d'autres l'ont essayé avant vous, à leurs dépens. C'est la seule solution. Un point est à souligner avec énergie : il n'y a ni "honte" ni "culpabilité" à éprouver pour avoir été la victime de violences !

Des services hospitaliers de psychiatrie peuvent parfois déconditionner la personne violente, afin de lui offrir une dernière chance. Les résultats semblent toutefois mitigés, ces patients ayant du mal à intégrer le fond du problème : « JE suis violent. Le déclencheur de la violence, ce n'est pas l'autre. Le déclencheur, c'est... moi ! »

Ces évidences rappelées, comment prévenir les violences en couple ?
S'il demeure en vous un reste de tendresse, prévenir ou tenter de stopper ce problème de violence à l'intérieur de votre couple demande des efforts conjugués pour :
1. Modérer les réactions émotionnelles. Ceci permet de garder le contact, une communication "normale". C'est notamment le cas si votre partenaire souffre de jalousie morbide. En restant ferme sur vos positions si vous n'avez rien à vous reprocher, une meilleure communication est le premier moyen de raisonner votre partenaire et de calmer tout début de violence de votre partenaire.
2. Rester calme à tout prix, au lieu de céder à la tentaton, bien normale, de répondre en criant plus fort.
3. Comprendre que la solution à ce problème de couple se trouve dans un dialogue quotidien. Si vous vivez ensemble, vous étiez amoureux ; vous devriez donc pouvoir vous parler, chaque jour, communiquer de manière posée, en amis – en vous écoutant l'un l'autre, sans vous interrompre.
4. Valoriser régulièrement votre partenaire, lui montrer de la considération pour le positif, contribue à diminuer les tensions.
5. Trouver à la limite, un substitut matériel contre lequel la personne violente pourra décharger sa colère, – comme un punching-ball, un sac de sable, une randonnée fatigante. Ça fonctionne.
6. Sortir de la pièce quand la colère monte dangereusement : – "Je reviendrai quand tu te seras un peu calmé(e)".
7. Bien sûr, devant une impression d'injustice (ou de trahison), nous pouvons tous être balayés par un ouragan intérieur, impossible à maîtriser au début. Mais en apprenant à respirer lentement, à vider complètement ses poumons en ces moments, on parvient à la longue à choisir de "lâcher prise".

Pour arriver à maîtriser nos réactions émotionnelles, il convient de garder le cœur ouvert. Cet état se construit ensemble, par une communication quotidienne, amicale, positive et par l'expression fréquente de nos sentiments sincères pour l'autre : ne l'oublions jamais, réussir sa vie de couple est un travail d'équipe !
Vous aurez également remarqué que ces épisodes agressifs ont pour cause première divers sentiments de frustration chez tous les deux. Il existe d'autres causes :
    • un excès de boisson ou la prise de drogue ;
    • une jalousie morbide qui éclate sur les prétextes les plus futiles ;
    • en cas d'infidélité, une profonde exaspération de chacun, par tout ce que dit ou fait l'autre ;
    • une absence de confiance envers un(e) partenaire qui s'est déjà montré(e) peu fiable ;
    • une susceptibilité accentuée par un manque de confiance en soi ;
    • une sensibilité anormale à toute contrariété : chaque mot, chaque geste est interprété
      comme humiliant ;
    • des blessures d'enfance ayant entraîné des complexes d'infériorité ;
    • un sentiment injustifié de culpabilité envers l'autre ;
    • un état dépressif lié à des soucis professionnels ou privés ;
    • un surmenage ou une fatigue inhabituelle... Etc.

Un témoignage récent, riche d'enseignements est celui de Mme Alexandra Lange. Son livre, bouleversant, "Acquittée. Je l'ai tué pour ne pas mourir" (Éd. Michel Lafon 2013 / J'ai lu).
Cet ouvrage magistral a été porté au cinéma, sous un titre imagé et très clair : "L'emprise", – le premier motif retenant la victime de quitter son bourreau.
Or, « Quand il n'y a plus aucune raison de rester, c'est une bonne raison pour partir... »
Si vous êtes confrontée à un problème de violence conjugale, vous devez prendre connaissance de l'un et/ou de l'autre : ces informations éclaireront votre vie et vous donneront la force de la décision.

Prévenir ce problème de violence en couple s'effectue aussi dans d'autres directions :
• Un bon moyen de désamorcer la crise que vous sentez poindre est de vous dominer un instant, pour ravaler votre rancœur. Vous prenez alors l'initiative d'interroger votre partenaire, en essayant de vous mettre à sa place ("empathie"). Vous lui demandez seulement quelle est son attente, dans quel domaine il ou elle ressent une frustration.
• Sans sacrifier vos valeurs essentielles, vous examinez alors les possibilités réalistes de répondre à cette attente, – fût-ce de façon échelonnée. Vous montrez ainsi votre bonne volonté, votre désir de résoudre ce problème de violence en couple aux effets si dangereux, en particulier pour vos enfants.
• Si les violences débutent toujours du même côté, exprimer simplement votre ressenti, face à ces régulières crises entre vous sera toujours plus efficace que lancer des reproches : ceux-ci demeurent sans effet et ne font rien avancer.
• Il importe, cela va de soi, d'expliquer posément à votre partenaire votre réelle souffrance, face à cette violence verbale dans votre couple et des pénibles tensions qu'elles génèrent ;
• ... et aussi d'exprimer à votre tour votre première attente : arrêt des colères et de la violence, davantage de tendresse, de chaleur humaine, de considération.
• Entre deux personnes qui s'aiment ou s'aimaient, demander posément ce que l'on souhaite est bien plus productif qu'hausser le ton. En comprenant cela, chacun peut s'efforcer de freiner ses pulsions de colère : un peu de bonne volonté partagée suffit très souvent.

Dans le livre-programme présenté ici,
                                      « 100 moyens sûrs d'aider votre couple »,
vous découvrirez un large éventail de moyens simples et pratiques, immédiatement efficaces, qui recouvrent tous les domaines de votre vie à deux.
Ce plan d'action vous apporte un large échantillon de suggestions et techniques concrètes, efficaces pour booster votre vie de couple. Apaiser l'agressivité, revivre avec votre aimé(e) la complicité, la tendresse et l'harmonie de vos premiers rendez-vous est aussi à votre portée !
Informez-vous : "ça vaut le détour".

Ce petit article serait incomplet sans vous suggérer les bonnes questions à vous poser si vous êtes victime de coups – toutefois sans menace réelle pour votre intégrité physique :
Le sort de la "femme battue" (physiquement ou non) ressemble curieusement à celui des prisonniers de longue durée : une fois à l'extérieur, enfin libre, elle se sent fort désemparée.
• Alors, comment est votre "prison" ? Il sera nécessaire, en la quittant, de pouvoir pleinement reprendre votre vie en mains, – donc de vous y préparer. C'est là où les foyers se montrent si précieux : être entourée, guidée par des personnes amicales et solidaires, qui ont connu les mêmes épreuves, permet de retrouver ses marques, de renouer avec l'espoir.
• Combien votre noyau familial compte-t-il d'enfants dépendants ? S'ils vous accompagnent, comment envisagez-vous leur avenir ?
• Vous sentez-vous très – peut-être trop ? – "responsable" de vos enfants, au point de ne pas parvenir à envisager, en cas de réelle urgence, de les laisser derrière vous ?
• Votre partenaire s'opposerait-il à les voir partir avec vous ?
• Disposez-vous d'une certaine autonomie financière ou de possibles recours à l'aide de proches ?
• Avez-vous gardé l'estime de vous-même ? Vivre auprès d'une personne très dominante s'accompagne souvent d'une perte de l'estime de soi ; c'est normal mais il faut lutter de toutes ses forces contre cette soumission, cette acceptation destructrice !
• Aurez-vous la force de "recommencer une nouvelle vie" ? Vous sentez-vous capable de retrouver en vous, la joie et le dynamisme nécessaires, après votre "libération" ?
• Quel est votre tempérament ? Réactif ou fataliste (passif) ? Rebelle ou soumis ? Décidé ou désespéré ? Mais d'abord, comprenez-vous la nécessité absolue d'agir ?
• Quel fut le déclic qui vous a enfin fait comprendre que ça devait changer ? Est-ce par exemple, pour retirer vos enfants de cette spirale de violence et leur éviter de reproduire les mêmes erreurs de génération en génération ? Est-ce par révolte ? Est-ce par désespoir ?
• Quel est le poids de vos traditions familiales et religieuses sur votre manière d'être ?
• Quelles sont vos réelles priorités ?
Vous le constatez, une telle décision doit être réfléchie, car vous devrez vous y tenir.

Sur cette page, se trouve un aperçu des questions posées lors de l'enquête nationale sur les violences envers les femmes en France (2000)

Heureusement, en mettant en pratique les informations réunies dans le livre électronique présenté ci-dessous, vous pourrez prévenir ces situations ou en tout cas, être mieux armé(e) pour éviter les mêmes erreurs, lors d'une prochaine rencontre.
Si vous subissez des violences conjugales, une visite à ce site suisse spécialisé, très complet et utile, est vivement à conseiller : "Violence ? Que faire ??"

La réponse faite à une de mes correspondantes pourrait aussi vous intéresser :
"Mon mari me donne des coups."

Et surtout, cette vidéo de la porte-parole de la Gendarmerie française :
"Tous les trois jours, en France, une femme décède sous les coups de son compagnon"





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