« 100 moyens sûrs d'aider votre couple » "La rigueur de l'analyse, le choc des idées, la force des solutions..." T. Stanton (Today's News)

Vous rêvez d'un vie harmonieuse, sereine... et votre couple traverse quelques turbulences ? Rassurez-vous, c'est la norme ! Des centaines d'emails me parviennent de couples vivant cette situation. Un grand nombre d'entre eux a surmonté des épreuves similaires aux vôtres, en choisissant d'appliquer des solutions simples, à la portée de chacun. Comme par exemple, celles réunies dans le programme présenté sur ce site, sous forme de livre électronique. Vous lirez plus bas des réponses personnelles aux mails reçus de lecteurs et lectrices, désemparés par leurs problèmes de couple. Ces situations vécues dans la vie réelle se répètent, identiques, sous toutes les latitudes et dans toutes les cultures. Elles nous interpellent au plan humain, nous font réfléchir et porter un regard différent sur nos propres soucis. Ces situations illustrent de façon concrète les différentes rubriques du plan d'infor-action décrit sur le site, "100 moyens sûrs d'aider votre couple". Ces emails sont rigoureusement authentiques. Seuls les prénoms sont changés. [Ivan Greindl] Nouveau : Le Best-of.

De nombreuses publications internationales et même le Wall Street Journal (!!) se font l'écho des effets bienfaisants de la "bibliothérapie": c'est maintenant attesté par plusieurs études scientifiques de premier plan, la lecture de livres de développement personnel apporte en effet une grande aide dans le traitement de difficultés psychologiques comme la dépression.
N'en doutez pas, face au désarroi causé par un douloureux problème de couple, prendre connaissance d'informations simples, logiques et concrètes peut vous apporter l'aide pratique dont vous avez besoin.
Quand vous aurez parcouru ci-dessous quelques évocations de situations réellement vécues, j'aimerais vous recommander de vous rendre sur mon site Web pour prendre connaissance du livre-programme :

« UN mot nous libère des chagrins et fardeaux
de la vie : l'amour. » (Sophocle -496/-406 A.C.)

SONDAGE :

Afin de vous aider, vous en particulier, n'hésitez pas,
décrivez en quelques mots le premier souci qui vous préoccupe dans votre couple (ennui - indifférence - lassitude - susceptibilité - manque de tendresse - jalousie - intimité sans passion - absence de confiance - infidélité...) et la frustration qu'il vous cause.
- Sans solution à ce problème, quelles seraient les conséquences négatives d'ici 1 à 5 ans, pour vous et vos proches ?
- Quel obstacle vous empêche de résoudre ce problème ? Que ressentez-vous devant cette impossibilité ?
- Selon vous, à quoi ressemblerait la solution idéale ? Quelles conséquences positives assurerait-elle ?
- Quelle question directe aimeriez-vous me poser, – à moi ou à un autre spécialiste ?

Soyez rassurés : des solutions existent pour améliorer votre situation.
(Merci d'indiquer vos réponses au bas de cette page, à la rubrique commentaires)

SOMMAIRE

• Vos questions ou commentaires
• Mes réponses [ Nouveau : voyez aussi le best-of  !] (Pour Chrome ou Firefox)

Problème : « Mon mari est diabétique et prend de la "Metformine" (3x 100 mg/j.). Il n'a plus d'érection. Que pouvez-vous me suggérer ? Y a-t-il une solution pour lui ? Merci. » Églantine (La Réunion)

À ma connaissance, la Metformine ne présente pas habituellement d'effets secondaires sur l'érection.
Bien d'autres paramètres peuvent intervenir : l'âge, le désir qui s'émousse, la fatigue, divers autres problèmes médicaux (en particulier ceux liés à la prostate), un excès de poids, des soucis d'ordre professionnel ou psychologique ou encore, … des conflits conjugaux ou même simplement, la routine.
La seule spécialité pharmaceutique susceptible de l'aider, s'il n'a d'autre problème que le diabète, est le Cialis (Tadalafil ®). Vous pourriez lui expliquer votre souci, votre peine et vos attentes sur ce plan, – mais en évitant tout reproche : c'est en lui parlant en amie que vous pourrez l'inciter à se préoccuper activement du problème et à tout faire pour résoudre cette épreuve qui vous touche tous les deux... Ensuite, vous pouvez lui suggérer de consulter un urologue expérimenté, à l'hôpital de St Denis ; il lui prescrira le produit, s'il le trouve opportun.
Le Cialis est très efficace et ne présente guère d'effets secondaires. Mais, pour stimuler l'érection, il convient d'être en situation d'excitation sexuelle. Attention : Il ne devra jamais dépasser un comprimé par jour et devra s'abstenir à tout prix d'acheter cette spécialité sur Internet ; on n'y trouve en effet que des contrefaçons fabriquées en Inde ou en Chine, sans aucun effet thérapeutique. Bonne chance à tous les deux.
[MOTS-CLÉS : dysfonction érectile : causes et solutions ; perte de libido masculine ; contrefaçons de médicaments]
[SOMMAIRE]   VOTRE RÉACTION À CE BILLET ou VOTRE QUESTION  

Un livre étonnant à vous recommander, aujourd'hui ! Simple à comprendre et même remarquable de clarté (œuvre d'un économiste, non d'un psy...), il pourrait éveiller l'enthousiasme de ceux d'entre vous intéressés par leur développement personnel. Séduit par Le Principe LOL2A, j'ai souhaité partager cette information avec vous. Ce principe démontre comment atteindre son but en un minimum de temps et d'effort. L'auteur nous montre en effet comment nous créons nous-mêmes les obstacles à notre évolution ; aussi, nous pouvons les vaincre : en lâchant prise et en faisant confiance à... l'amour et aux idées créatives. Technique simple, accessible à tous, efficace pour progresser, – en particulier, lors de passages difficiles dans notre vie de couple.

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Problème : « Il est parti, je veux le récupérer ! » (sic !) Marie-Claire (France)

Dans ce très bref message, vous n'apportez guère de détails, d'informations qui me permettraient de vous apporter une réponse vraiment concrète. Je vous soumets donc quelques idées générales ; j'espère qu'elles vous seront utiles. Pour choisir quelle solution apporter à ce problème, il convient avant tout, d'en déterminer la cause précise, l'origine première de son départ. Dans ce but, vous trouverez productif de vous poser à vous-même, les bonnes questions. Par exemple :
• Ne voulait-il pas s'engager de manière durable dans une relation avec vous ?
• Communiquiez-vous ensemble de manière franche, directe, sincère, sans rien vous cacher, sans non-dits ou sous-entendus mal compris ?
• Gardiez-vous chacun, autant que possible un ton égal et affectueux pour dissiper un éventuel malentendu ?
• Exprimiez-vous chacun vos diverses attentes, préférant la description de vos ressentis, aux reproches inutiles, toujours dans une optique de vous rapprocher, de mieux vous connaître ?
• D'après la description de ses attentes à lui, votre impression est-elle qu'il avait des reproches fondés à vous faire ?
• A-t-il été infidèle ? Si oui, pourquoi ? Comment est-il devenu vulnérable à la "tentation" ? (Quand on trouve "tout ce qu'il faut à la maison" qu'irait-on donc chercher ailleurs ? Des problèmes ?)
• Vous connaissiez-vous en profondeur ? Ou votre relation était-elle basée surtout sur une attirance physique mutuelle ?
• Respectiez-vous chacun le droit de l'autre à la différence ?
• L'un de vous montrait-il une jalousie excessive, une possessivité déplacée, propre à tuer toute relation ?
• Si vous viviez ensemble, se montrait-il mature, responsable et suffisamment solidaire ?
• Aimiez-vous partager des activités, des projets, un but, un engagement, … ?
• Acceptiez-vous chacun l'échange de concessions, en vue de dégager des compromis et résoudre ainsi les différends qui se produisent dans tous les couples ?
Répondre avec lucidité et objectivité à de telles interrogations aide en général à y voir plus clair pour décider de ses futurs choix et de s'y tenir. Seconde étape, il est bon de se demander le motif qui nous pousse à vouloir poursuivre une relation : "Je veux le récupérer" dites-vous. Pourquoi ?
• Parce que vous l'aimez, vous l'estimez, vous voulez construire quelque chose ensemble ?
• Parce que vous pensez qu'il a une réelle valeur humaine et que vous le voyez comme l'homme de votre vie ? (et le père de vos enfants, éventuels ou futurs ?)
• Parce que vous êtes sûre de pouvoir le rendre heureux et partager avec lui un bonheur durable ?
• Parce qu'il est "différent" et qu'il possède une série de qualités que vous recherchez et se montre attaché aux mêmes valeurs essentielles que les vôtres ? Ou
• Parce que vous le trouvez beau, drôle et merveilleux au plan intime ?
• Parce qu'il vous a préférée une autre que vous jugez moins bien et que vous en éprouvez un dépit bien normal ?
• Parce qu'il a "déserté" pour des motifs que vous trouvez vagues ou futiles ?
En fonction de vos réponses honnêtes et lucides à ces différentes questions, vous déduirez vous-même le choix à faire :
• "je m'accroche", je reste digne en évitant les reproches inutiles mais en lui faisant part posément du chagrin que je ressens et d'un autre côté, en l'assurant de ma bonne volonté : des changements d'attitudes acceptés par les deux, donnent en général de bons résultats, quand des sentiments existent encore "sous la cendre"…
• ou je me dis, "à la réflexion, il m'a profondément déçue par sa réaction, imméritée ; il s'est montré injuste et peu motivé. Je trouve donc qu'il vaut mieux pour moi tourner la page : bientôt ne resteront que les bons souvenirs."
• j'admets avec franchise que toutes les crises de couple ont deux point communs :
* elles commencent pas une dégradation de la communication ;
* elles reposent dans 98% des cas sur quatre épaules, – non sur deux.
Bonne chance !
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Aujourd'hui, à l'occasion d'un "événement inter-blogueurs", m'est posée une question intéressante, bien loin des sujets habituellement abordés sur ce blog : « Comment j'ai gagné mes premiers euros sur Internet ?? »
Oh, mais c'est très simple : chirurgien-dentiste, j'ai dû me résoudre, pour raison de santé, à une retraite anticipée ; je l'ai voulue active et si possible… utile. L'éventail étendu d'erreurs (plus ou moins involontaires) commises au long de ma vie conjugale m'a permis d'en tirer quelques enseignements. J'ai souhaité les faire partager : tant de couples, autour de nous, ont besoin d'un petit coup de pouce ! Ils traversent ces difficultés que nous connaissons tous, – toujours les mêmes, sous toutes les latitudes, dans toutes les cultures.
Lesquelles ? Le manque de communication ; la routine ; l'indifférence, l'absence d'attention : après un temps, on ne s'intéresse plus trop à l'autre, on oublie de le ou la valoriser ; on ne fait plus d'activités ensemble, on ne partage plus assez ; on ne se fait plus confiance. Etc.
Les premières personnes que j'ai eu la chance de pouvoir aider, en les écoutant, m'ont bientôt persuadé "d'écrire quelque chose" sur le sujet et de le diffuser, par exemple sur le Net. Mais en 2000, n'existaient pas encore les multiples facilités dont disposent aujourd'hui les apprentis internautes. Sans fonds propres pour confier le travail à une société spécialisée, restait une seule solution, "aller au charbon". Apprendre le langage html, les rudiments de marketing et le mystérieux fonctionnement du réseau Internet, afin de monter un site cohérent, ne fut pas une mince affaire. Pas de Wordpress, à l'époque ; pas de vidéo digitale ; aucun éditeur WYSIWYG pour structurer un site ou un blog ; aucun logiciel spécialisé de montage, etc. Bref, la construction d'un site demandait "quelques efforts", – d'autant que je le voulais en trois langues.
Mes "loisirs" pendant ce temps ? Écrire en parallèle, un ebook sur mon sujet favori, l'aide aux couples "en panne", et répondre, dans le cadre du blog attenant au site, aux emails de nombreux surfeurs, soucieux de trouver des solutions à propos de leur situation personnelle.
D'année en année, grâce au classement amical de Google, Yahoo, MSN et autres, mon petit site amateur et son blog ont franchi modestement le cap des cinq cents visites quotidiennes. Incroyable mais vrai, elles proviennent de pas moins de 200 pays. L'ebook, régulièrement mis à jour et complété (en FR, ENG, ESP), connut un succès croissant, comme tous les produits personnels créés avec persévérance et possédant du "contenu", selon l'expression consacrée.
Quelques affiliations, quelques publicités ont contribué à étoffer ces rentrées mais soyons réalistes, pour retirer un vrai revenu de ces à-côtés, il faut justifier d'un très gros trafic et y consacrer beaucoup, beaucoup de temps : rédiger des articles, faire des recherches, effectuer des mises en page, bref tout un travail de webmaster, en plus du reste.
Mais rassurez-vous, si un "p'tit vieux" peut gagner sa vie sur Internet, vous aussi pouvez y arriver : faire bénéficier les autres de vos connaissances personnelles dans un domaine particulier ; faire connaître vos créations ; diffuser vos produits ou ceux d'autres personnes, eh bien, tout ceci est également à votre portée.
Bien sûr, vous réalisez comme il est stimulant de créer quelque chose, bien à soi : ça vous donne des ailes, – tellement plus que se limiter aux aller-retour obligés vers un boulot sans grand intérêt, toute motivation à la longue estompée par la routine...
Bonne chance, croyez-moi, vous aussi pouvez ajouter du pep à votre vie !
Ce billet participe à l'évènement inter-blogueurs "Comment j'ai gagné mes premiers euros sur Internet" qui est organisé par le blog "Blogueur Pro". Si vous avez aimé ce billet, je vous remercie de cliquer sur ce lien : "j'ai apprécié cet article".
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Problème : « Mon nouvel amour vient de rompre, car je l'ai négligée gravement... au profit de mon épouse (...) » Maurice (Corse)

• Aimer de deux côtés à la fois est toujours "délicat"… Vos sentiments envers votre épouse ne peuvent s'oublier tout à fait, même quand une autre femme vous a tourné la tête.
En plus, si vous avez une famille, des enfants, il y a des valeurs importantes en jeu, qui passent en principe avant une passion, – probablement surtout charnelle. Votre nouvel amour a sûrement été pour vous une "révélation", en comparaison de la routine à laquelle votre couple n'a peut-être pas pu échapper ces dernières années. Mais, si votre amie a rompu (c'est affreusement dur et douloureux, je le sais !) alors que vous l'aimez de tout votre cœur, ne souhaitez-vous pas tout de même SON bonheur avant tout ??
• Or, êtes-vous moralement et physiquement sûr de pouvoir la rendre heureuse ?
• Êtes-vous convaincu que votre désir et cet amour neuf, toujours merveilleux au début, ne brouillent pas votre jugement ? Il serait utile de vous interroger sans émotion :
- à part une meilleure harmonie intime, trouvez-vous avec votre amie, toutes les valeurs et les joies qui vous manquent avec votre épouse depuis l'arrivée des enfants ?
- Sur quelles bases solides avez-vous construit cette nouvelle relation ?
- Êtes-vous certain de pouvoir vous apporter l'un à l'autre, l'épanouissement et les moments de bonheur quotidiens que vous êtes tous deux en droit d'espérer ?
• Sinon, les idées et suggestions que vous trouverez dans mon programme d'information et d'action que vous venez d'acquérir, vous aideront à prendre un peu de recul et à examiner la situation avec davantage de lucidité.
Vous réaliserez alors combien il est facile, en vous efforçant de vous mettre à la place de votre épouse, de mieux la comprendre, de communiquer plus facilement avec elle et aussi de retrouver et/ou d'améliorer… vos rapports intimes.
Car, comprenez-le, Maurice, TOUS les couples avec enfants, traversent une crise, au début – et parfois pour très longtemps si on n'y remédie pas.
Les soucis, la fatigue des nuits incomplètes, les bouleversements hormonaux de la jeune mère, le sentiment qu'elle a de n'être jamais assez aidée, d'être toujours fatiguée et débordée, son inquiétude de voir son corps alourdi – et son désir tiédi…
Et par-dessus tout, cette effroyable ROUTINE ! Car on n'a plus le temps de faire des choses ensemble, de partager et on finit par s'éloigner l'un de l'autre, ce qui rend le mari vulnérable aux "tentations".
Mais sachez-le, une crise, ça se surmonte, les obstacles peuvent être franchis ou contournés. Ce qui, pour vos enfants, seraient évidemment une solution nettement meilleure…
Je passais mes journées avec mon amie mais rentrais chez moi le soir et ne la voyais pas les week-ends. (...)
• Imaginez-vous alors sa déception continuelle ? Son affreux sentiment de solitude ? Son impression justifiée, de toujours passer après votre "légitime" ? Comment garder sa confiance en l'homme aimé ? Qu'avait-elle comme perspectives d'avenir, auprès d'un homme qu'elle aimait sans parvenir à le voir se "libérer" ??
En fait, j'ai divorcé mais pour des raisons financières, j'habite encore avec mon ex-épouse pour m'occuper des enfants, malgré ses reproches incessants (elle ne supporte évidemment pas ma nouvelle relation) ; (...)
• En vous mettant à sa place, vous la comprendrez et serez plus indulgent…
• Si votre "divorce" n'est pas encore jugé, la procédure peut encore être suspendue… !
J'ai voulu ainsi, par ma présence acheter une "paix", – en négligeant de ce fait mon amour.
• Difficile de choisir quand on aime de deux côtés ! Tout le monde a connu ça, donc je vous comprends très bien.
Aussi mon amie a douté de la réalité de mon divorce et de la fin de mes sentiments pour mon ex-femme. (...)
• Bien sûr. Mais de votre côté, ce serait finalement assez normal : on n'oublie pas tout le passé, tout ce qu'on a réalisé ensemble, tous les bons moments et les épreuves, en un instant. Ces sentiments pourraient refaire surface et même briller, si vous y mettiez du vôtre, en pensant aux enfants, à leur bonheur, à leur désir d'être entourés de tout l'amour possible.
Mais je vais déménager car je veux reconquérir mon amie : je l'aime profondément. (...)
• Ne précipitez rien, Maurice. Une hâte intempestive ne vous donne aucune garantie supplémentaire de la retrouver. D'autant que vous ignorez ses sentiments actuels, l'intensité de sa légitime rancœur, et sa détermination à se tenir à sa décision.
Je me sens stupide et je souffre de cette rupture et aussi de lui avoir fait du mal. (...)
• Vous n'êtes pas stupide ; vous avez seulement été débordé par vos émotions et votre désir. Ce qui est simplement humain.
Par contre, vous n'avez pas pensé au chagrin que pouvait éprouver votre amie, à son impression d'être mal aimée, "flouée", trahie. Cette preuve caractérisée… d'égoïsme masculin est fort difficile à pardonner. Surtout par une femme qui aime un homme avec des enfants : elle sait qu'il conserve des attaches.
• Toutefois, si vous y réfléchissez, c'est d'abord à votre épouse que vous avez fait du tort : comment rester indifférente face à votre infidélité ? Au fait de vous voir effacer d'un trait toutes ces années de vie commune, cet avenir en lequel elle croyait ?
• Rappelez-vous sur quelles bases solides avez-vous construit vos relations amoureuses ? Avez-vous envisagé l'avenir en commun, avez-vous visé plus loin que l'attirance mutuelle, le simple et fugace désir charnel ? Votre réponse déterminera vos choix et donc votre avenir à tous, – le vôtre, celui de vos deux femmes et celui de vos enfants.
S'il vous plait, comment dois-je faire pour reconquérir mon amour ?
• La première chose à faire est de compléter votre information sur les divers aspects d'une vie de couple bien "comprise" ; sur les attitudes à adopter dans la situation que vous vivez ; sur les changements à opérer en vous pour plaire à celle que vous préférez… Vous y parviendrez en lisant attentivement le programme que vous avez acquis.
• En deuxième lieu, il vous sera très bénéfique de vous "remettre en question" avec maturité et simplicité, c'est-à-dire de vous poser une série de (bonnes) questions et d'y répondre honnêtement.
• En fonction de vos réponses, efforcez-vous de mettre en pratique les techniques que vous aurez découvertes dans mon programme pour reconquérir celle de vos deux femmes avec laquelle votre avenir à tous les deux sera, selon vous, probablement le plus harmonieux sur la durée.
Avec le peu d'éléments dont je dispose je ne peux évidemment pas juger de votre situation, mais seulement vous livrer mon impression. je peux me tromper mais j'aurais tendance à croire que vous aurez davantage de chances de succès avec votre épouse qu'avec votre amie : il n'est pas dans l'ordre logique des choses de continuer à cohabiter après un divorce prononcé.
Bonne chance !
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Vous verrez, ce livre rafraîchissant vous fera envisager votre relation d'un œil neuf. COMMANDEZ-LE maintenant : vous donnerez un second souffle à votre vie de couple !

Ce livre électronique vous révélera un large éventail de solutions logiques, simples, concrètes, faciles à appliquer au quotidien et surtout efficaces, pour 'booster' votre vie de couple, - dans tous les domaines. Revivre avec votre aimé(e) la passion, l'enthousiasme et le romantisme de vos premiers rendez-vous est aussi à votre portée.
Informez-vous, "ça ne mange pas de pain" et ça vaut le détour !

Problème : « (J'ai téléchargé votre ouvrage sans difficulté !) Concernant mon couple, je voudrais savoir si je pars sur de bonnes bases, en essayant d'adopter les conseils de votre livre, (...) » René (Vaucluse FR)

• Lire tous deux les idées et suggestions contenues dans mon programme, constitue en effet la 1^e étape ;
• En parler ensemble, comprendre et assimiler la démarche générale, est la deuxième étape ;
• enfin, appliquer, mettre en pratique, avec un esprit ouvert et un rien persévérant, les techniques qui vous semblent le mieux convenir à votre situation personnelle, est le moyen radical de constater des progrès quotidiens,
- POUR AUTANT que cessent les jugements, les critiques, les reproches, – toujours vains.
- POUR AUTANT que chacun montre un soupçon de bonne volonté et s'implique dans la relation ;
- POUR AUTANT qu'on réalise que le succès d'une vie de couple repose sur quatre épaules, non sur deux.
De ce fait, culpabiliser l'autre (ou se culpabiliser soi-même !), est absolument contre-productif.

(...)sachant que je n'ai plus pris ma femme par la main, depuis plus de 22 ans. (...)
Mais... pourquoi ?
Notre coup de foudre a duré pendant l'année de nos fiançailles. Dès l'annonce du mariage, ma femme est devenue plus fermée et agressive à mon égard. (...)
• Et vous n'avez jamais pensé à lui en demander la raison ? À retarder le mariage tant que vous n'aviez pas la réponse ? Elle avait peut-être quelqu'un d'autre en tête ou une raison qui la faisait hésiter devant cet engagement ?
Je ne comprends pas comment on en est venu là. Le problème est que j'ai continué à espérer, que 4 enfants sont là (16 ans, 18 ans, 20 ans et 22 ans) et que personne n'a envie de se parler ni de continuer à vivre ensemble.
• Vous semblez souffrir tous d'un problème aigu de communication. Je vous propose alors, un essai qui peut se révéler très fructueux : vous pourriez lors d'un repas où vous êtes tous présents, proposer un démarche très simple, – une "campagne d'information pour améliorer le niveau général de communication".
Chacun de vous notera sur un papier 3 (ou 4 ou 5…) points qu'il/elle aimerait voir changer à la maison.
Ceci se fait bien sûr dans le respect des autres, c'est à dire sans reproches, chaque personne se limitant à décrire ce qu'elle "ressent", ce qu'elle "attend" de telle autre.
Ensuite, vous discutez des réponses, tous ensemble ou en particulier, selon les goûts de chacun. L'important est que chaque membre de la famille (y compris vous, bien sûr) puisse exprimer ce qu'il ressent, – et SEULEMENT ça. (À nouveau, les reproches ne font jamais rien avancer et il est bon de le leur rappeler.)
• Si brûle en vous la motivation sincère de voir changer les choses à la maison, vous réussirez sans problème cette séance d'information. Elle sera étonnamment profitable, si chacun accepte de regarder les choses en face.
• Il sera temps ensuite, quand la communication aura retrouvé un niveau normal, de convaincre votre femme, avec des mots tendres et chaleureux, de vous expliquer ses attentes et la cause profonde de son attitude. Elle vous répondra quand vous serez parvenu à rétablir la confiance entre vous.
• De toute manière, vous trouverez dans le programme, toute une série d'informations que vous avez peut-être oubliées ou qui n'ont pas dans le passé, suffisamment attiré votre attention.
Réaliser leur importance, vous aidera à renouer un contact amical avec votre épouse ; ceci est la première porte qui vous ouvrira la voie vers l'harmonie conjugale.
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Problème : « J'ai été infidèle à mon homme mais il me laisse une chance de me racheter. Comment faire ? » Charlotte (Martinique)

Je comprends bien votre souci et je vais tenter de vous donner une réponse utile. Mais d'abord, il serait bon de vous poser à vous-même, 3 questions importantes :
1. Est-ce que vous l'aimez encore vraiment ?
2. Est-ce que vous pensez qu'il vous aime encore, qu'il tient à vous et qu'il vous a pardonné avec son cœur ?
3. Envisagez-vous tous les deux une relation durable (Éventuellement trouveriez-vous normal de faire un enfant ensemble, si ce n'est pas déjà le cas) ?
Si votre réponse est "oui" à ces 3 questions, il vaudrait la peine en effet, de faire un effort pour vous "racheter" (Je n'aime pas ce terme parce qu'il sous-entend que vous êtes seule fautive...). MAIS, ça ne veut pas du tout dire que vous devez obéir à tout ce qu'il demande, vous soumettre à toutes ses volontés : il est indispensable de le réaliser, vous avez le droit de garder votre personnalité, de préserver une certaine part de votre autonomie et surtout de penser et d'agir de façon différente de lui, – même si vous vous aimez.
D'autre part, il y a lieu de comprendre que dans une crise de couple, il est exceptionnel de pouvoir attribuer toute la responsabilité à un seul des partenaires… Réfléchissez-y : quelle est la première cause, l'origine exacte de cette infidélité ?
1. Votre partenaire s'est-il montré agressif ?
2. Peu solidaire ?
3. Indifférent à vous ?
4. Pas assez tendre ??
5. L'avez-vous cru infidèle, lui ?
6. Les rapports intimes entre vous ne se déroulaient-ils plus comme vous le souhaitiez ?
7. La communication entre vous n'est-elle plus très bonne ??
Vous voyez, Charlotte, une crise de couple est toujours complexe, en particulier quand les partenaires manquent un peu d'information sur ce que doit être la vie de couple.
Et là, quand vous aurez réfléchi aux idées que je viens de vous soumettre (et si possible que vous en aurez parlé avec votre compagnon !), je peux vous aider de manière très concrète : en complétant justement, votre information.
Car le livre électronique que vous avez vu présenté sur mon site Internet a précisément été écrit pour aider les couples comme le vôtre à surmonter un problème difficile et à retrouver de vrais moments heureux, chaque jour.
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Problème : « Me faire comprendre par mon épouse » Léopold (Côte d'Ivoire)

Ce "problème" est enfantin à résoudre. Il vous suffirait d'utiliser quelques techniques très simples, comme :
• réaliser que si elle ne vous comprend pas, c'est peut-être que… vos explications ne sont pas claires pour elle. Or, elle a besoin de vous faire confiance ;
• lui parler chaque jour, sur un ton posé ;
• lui montrer que vous vous intéressez à sa vie à ses "attentes", à ce qu'elle voudrait voir changer ;
• vous mettre souvent à sa place et lui suggérer de faire de même : on se comprend mieux ainsi ;
• penser à la valoriser chaque fois qu'elle fait ou dit quelque chose qui vous plaît : rien de tel pour réveiller la bonne volonté d'une épouse ;
• témoigner de votre solidarité, en l'aidant le plus souvent possible ;
• vous montrer disponible pour certaines sorties ou activités à faire régulièrement ensemble ;
• avoir féquemment un mot gentil pour elle, un geste de tendresse : elle doit sentir de la considération de votre part et de l'attachement. Comme toute femme, elle aime être souvent surprise et surtout, respectée. Or, certains maris (sûrement pas vous) en arrivent à croire que leur épouse sert surtout à faire le ménage et à satisfaire leurs désirs physiologiques…
Il est au contraire important qu'une épouse se sente aimée : elle doit pouvoir être heureuse de sa condition d'épouse, qui est différente de celle d' "objet sexuel" ;
• avoir à l'occasion, une petite attention pour elle, songer à lui faire plaisir ;
• partager davantage de moments, ensemble. Etc.
Bref, vous comprenez le genre d'attitudes qui plaît à une épouse. Quand elle réalisera vos efforts pour répondre autant que possible à ses attentes légitimes, elle sera bien mieux disposée à vous comprendre parce que la séduction ne commence jamais dans la chambre à coucher !!
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Problème : « Ma femme n'a plus envie de faire l'amour. » Farid (Algérie)

C'est un problème habituel chez bien des couples. Selon les conceptions actuelles du couple moderne, des techniques simples ont été développées pour résoudre facilement cette difficulté.
Mais bien sûr, je ne connais pas les sentiments que vous avez encore pour votre épouse ; vous permettent-ils d'envisager une certaine part de responsabilité dans la situation que traverse votre couple ?
Si c'est le cas, vous êtes sur la bonne voie ! Car vous pourrez vous demander le pourquoi de ce refus ; en déterminer les causes exactes, cela, en lui parlant avec affection.
Il est bon en effet, de réaliser qu'aujourd'hui encore, tout bon musulman est élevé dans les valeurs de la tradition. Pour celle-ci, l'époux est le maître absolu du foyer ; sa femme lui est soumise et lui doit obéissance. Dans la mesure du possible elle reste en outre, dans son foyer ; son mari sort de son côté.
Qu'on le veuille ou non, c'est ainsi que raisonne la majorité des hommes de confession musulmane.
OR, au 21e siècle, l'information passe partout. Et les femmes commencent à réaliser l'importance de leur égalité de droits, par rapport aux hommes. Elles se rendent compte que dans de nombreux autres pays, la condition féminine est différente.
Que l'épouse y est valorisée. Qu'elle y a droit au respect, à la considération de ses idées et opinions. Qu'elle a droit aussi à des loisirs, à des moments de détente avec son époux. Qu'elle n'est pas uniquement astreinte aux tâches et responsabilités du ménage et des enfants, en plus de son travail extérieur éventuel.
Tout ceci pour dire, Farid, que la séduction ne commence donc jamais dans la chambre à coucher !
Une femme sera d'abord séduite par les attitudes de son mari durant les divers moments de la vie quotidienne : elle a besoin de bonheur conjugal, elle a besoin de se sentir aimée et aidée, pour se sentir prête à l'intimité.
Il est évident qu'une femme dont la vie quotidienne n'est pas exclusivement faite de routine et de corvées ; une femme qui se sent appréciée par son époux, qui en reçoit souvent des témoignages de tendresse, de petites attentions ; qui, une fois par semaine au moins, partage avec lui un loisir ou une activité agréable ; qui le sent solidaire et attentif, – cette femme-là sera bien plus volontiers disposée à faire l'amour. Cela ne vous semble-t-il pas logique, Farid ?
Autre point à souligner, bien sûr aussi, la possible crainte d'avoir encore un enfant, si elle n'est pas autorisée à limiter les naissances par contraception. Ou enfin, si elle souffre de douleurs ou d'infection locales, – qu'un médecin pourra guérir.
Si tout cela est résolu, il vous restera à compléter votre information sur ce qu'aiment les femmes dans l'intimité.
Mon livre-programme que vous avez vu présenté sur mon site Internet vous livrera un grand nombre d'informations sur ce plan, dont vous pourrez tirer profit tous les deux.
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Je vous propose aujourd'hui, un sondage (ancien mais digne d'intérêt) trouvé sur le Net, qui peut tous nous faire réfléchir...
Cliquez ici pour le lire. Son titre : "Que feriez-vous avec une heure de plus par jour ?" »

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Problème : « Après trente ans de vie commune, il n'y a plus de compréhension, depuis l'infidélité de mon mari. » Louise (France)

L'absence de compréhension entre vous n'est pas le premier problème : elle vient du fait que, petit à petit, la communication s'est dégradée, que le vrai contact entre vous s'est relâché.
Dans ces conditions, avec le temps, la complicité s'effrite ; chacun des partenaires s'occupe surtout de "ses propres affaires", sans guère s'intéresser encore à la vie de l'autre ; sans plus rien PARTAGER ; sans plus vraiment se soucier de répondre à ses diverses attentes, – qu'elles soient de l'ordre des sentiments, de l'intimité ou d'autre nature.
Bref, on vit l'un À CÔTÉ de l'autre et non plus l'un avec l'autre. Quand on se rend bien compte de cette situation, on réalise que chacun a des questions à se poser sur soi-même et qu'en fin de compte, il est bien rare que toute la responsabilité d'une crise de couple repose seulement sur deux épaules.
On réalise alors que certains petits changements dans le comportement et les attitudes de la vie quotidienne, sont tout à fait envisageables et qu'ils aideraient bien à se retrouver ! En effet, il serait faux de croire qu'une infidélité suffise à détruire trente ans de vie commune, que les sentiments et tout ce qu'on a construit ensemble, sont oubliés. Ce n'est jamais le cas.
La solution ? Se parler, calmement, en amis, qui se mettent chacun à la place de l'autre, qui sont ouverts à la compréhension, et même… au pardon.
Trente ans de vie commune, c'est une telle somme de souvenirs et de bons moments en commun auxquels se rattacher tous les deux ! Bien sûr, il y a les bonnes et les moins bonnes directions à suivre ; quelques techniques utiles à apprendre et une série de notions à assimiler pour compléter son information sur la vie de couple et les moyens de se sortir des soucis...
C'est précisément l'objectif de l'ouvrage dont vous avez lu la présentation sur mon site. Bon courage, Chère Louise, il n'est pas trop tard pour retrouver une vie normale avec lui.
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Problème : « Je le reconnais, j'ai un sale caractère ; j'ai l'air d'un "garçon manqué". Durant la période où nous étions ensemble, je croyais avoir changé mais ça a refait surface, je ne sais trop pourquoi. Mon partenaire en est fort déçu et m'a dit vouloir faire un break. Je suis perdue car il ne me contacte plus. J'ai peur que ce "break" dure un temps infini ou qu'il se cherche une autre fille, meilleure que moi. S'il vous plaît, veuillez m'aider, je n'ai pas envie de le perdre, surtout en ce moment très important dans notre vie : nous participons tous deux, dans quelques jours, à un voyage d'étude organisé par notre Faculté. Je ne supporterais pas de le voir sans pouvoir lui adresser la parole... Je l'aime, j'ai envie de lui faire ressentir la même chose ! Merci d'avance, votre aide me sera vraiment utile. » Gabrielle (Madagascar)

Je ne peux pas vous résumer tout mon livre en un email ; je vous donnerai donc quelques idées et suggestions :
• lui dire ce que vous ressentez et quelles sont vos attentes.
• Vous montrer tendre avec lui, féminine, drôle et même sexy.
• Lui demander de vous expliquer en détail ce qu'il attend de vous ; ce qu'il aimerait volontiers voir changer dans vos attitudes ou comportements.
• Faire un effort sur vous-même afin de mieux dominer ce que vous appelez votre sale caractère. Par exemple : modérer vos réactions émotionnelles, vous abstenir de hausser le ton, de crier pour des motifs qui n'en valent pas la peine, – les reproches sont toujours inutiles ! Etc.
• Penser davantage à vous intéresser à sa vie.
• Penser à partager avec lui vos expériences, vos lectures, vos idées, vos projets, vos espoirs…
• Quand vous aurez "renoué" avec lui, vous efforcer d'avoir, au moins une fois par jour, une vraie conversation, calme et intéressante.
• Apprendre à mieux le connaître, à mieux comprendre ses réactions, en vous mettant plus souvent à sa place, – ce qu'on appelle "empathie".
• Apprendre aussi à le valoriser, c'est-à-dire à lui exprimer un compliment, si vous pensez qu'il le mérite.
• Faire, régulièrement, une activité intéressante ou amusante, ensemble.
• Lui expliquer (éventuellement dans une courte lettre) votre ressenti : combien vous êtes triste et malheureuse sans lui ; que vous comprenez qu'il ait eu envie de "prendre un peu l'air" mais que son absence vous est pénible. Elle vous a fait réaliser combien il est important à vos yeux ; que vous l'aimez et que vous allez, avec son aide, tenter de changer et d'adoucir votre caractère.
• Compléter votre information sur ce que peut et doit être une saine relation de couple en 2012…
Quand vous aurez mis en pratique ces 12 idées, vous aurez déjà fait beaucoup pour améliorer votre relation de couple et votre entente. Bonne chance !
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Problème : « J'ai des problèmes de communication avec mon mari. J'ai deux enfants, lui, trois et nous en avons un ensemble. Il a toujours considéré mon aînée comme son ennemie et comme une... voleuse ! Son fils a dû lui avouer être le coupable mais cela n'a pas modifié son attitude. Ce vieux problème de communication est devenu insoutenable. » Jacqueline (Côte d'Ivoire)

La mésentente avec ses beaux-enfants est un problème aussi douloureux que répandu ; et la seule façon de le résoudre ou de l'atténuer est en effet, vous l'avez parfaitement compris, d'établir et d'entretenir, une bonne et saine… communication.
Celle-ci se base idéalement sur la franchise, l'affection, la maturité, l'indulgence pour les autres points de vue et l'empathie : se mettre parfois à la place de l'autre permet bien sûr de mieux comprendre ses réactions.
Votre situation personnelle est sans doute plus complexe, du fait de la présence sous le toit familial, de beaux-enfants déjà adultes : comme pour les lions, il doit être humiliant pour votre mari de voir contestée, même par ses propres enfants, son autorité de… "mâle dominant".
Votre rôle de médiatrice privilégiée est donc essentiel. À vous de prendre en mains les rênes du dialogue familial, de faire réaliser par tous, l'impérieuse nécessité de confronter les points de vue dans le calme : personne n'a toujours raison, – même pas le père de famille…
Une formule est assez facile à adopter :
prenant la parole chacun à votre tour, en étant d'accord de ne pas interrompre la personne qui parle, il suffit à tous, successivement, d'exposer son ressenti personnel et ses attentes précises, ses souhaits, ses espoirs.
Vous vous arrêtez là, en évitant avec soin les stériles reproches, les jugements cinglants, les critiques sans effet, car, comment en vouloir à quelqu'un qui se limite à exprimer ses propres émotions, sans lancer des attaques agressives ? Mêmes justifiées, celles-ci restent d'ailleurs inutiles.
Le 'truc' est de préparer ce qu'on va dire et d'éviter au maximum l'usage du mot "TU", au profit du mot "JE". En particulier quand vous parlez à votre mari en a parte : tentez de garder votre calme, en lui expliquant votre chagrin devant cette crise et votre ardent désir de vivre dans l'harmonie.
Bien sûr, vous devrez tous participer à l'effort commun, – lui en premier : n'est-ce pas au "patriarche" de montrer l'exemple de sagesse, de calme et de compréhension ?
Pourquoi ne pas lui faire lire ce message ? Il pourrait l'aider à réaliser que tous les torts ne sont pas toujours du même côté : les enfants en âge de raison n'auraient-ils pas eux aussi, le droit d'avoir leur vision de la vie ? À nous de leur inculquer, par l'exemple et non par la contrainte, les valeurs saines qui les guideront dans la bonne direction…
Bonne chance, votre affection pour les membres de la famille, votre calme autorité feront des miracles.
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Problème : « Je ne suis pas tendre avec ma femme et elle en souffre. » Jean-Pierre (France)

Au moins vous êtes lucide, vous réalisez votre faiblesse et vous savez ce qu'elle ressent. Avoir demandé mon article et écrit ces mots révèle un fait indiscutable : vous avez encore des sentiments pour votre femme. Donc, il ne devrait pas être trop difficile de 'rectifier le tir'. Quels en seraient les avantages ?
• Améliorer le climat entre vous en "ranimant la flamme" ;
• raviver ses sentiments pour vous ; son désir peut-être, – et donc votre vie intime… ;
• retrouver une entente harmonieuse, complice, – un aspect capital de votre relation, sans doute un peu négligé ;
• vous motiver tous les deux pour davantage partager – des centres d'intérêt, des projets, un objectif, des activités ou des loisirs, – sur une base régulière, etc. ;
• améliorer la qualité de votre communication et donc votre (si précieuse) confiance mutuelle ;
• lui éviter de devenir inutilement vulnérable aux 'tentations' : TOUT LE MONDE peut un jour, sans du tout l'avoir recherché, faire une autre rencontre, celle d'une personne qui paraît plus tendre mais aussi plus attentive, plus valorisante ou encore, plus chaleureuse… On se sent alors tellement bien en sa compagnie, mieux compris(e), plus… séduisant(e) !
Ainsi se brisent alors, les rêves d'avenir, l'espoir plus ou moins conscient de vieillir ensemble. La responsabilité de ce genre d'écart repose presque toujours sur quatre épaules... Mais vous savez ce qu'il faut faire, il vous reste à passer à l'action.
• Pour commencer, vous pourriez ce soir, lui apporter tout simplement un bouquet de fleurs (soigneusement choisies par vous !) et par ex., l'emmener à l'improviste dans un endroit qu'elle aime bien, pour lui parler.
• Dites-lui que vous la comprenez, que vous savez ce qu'elle ressent, qu'avec son aide et ses rappels discrets, vous tenterez de pallier cette froideur qui lui fait mal.
• Dites-lui combien vous l'aimez et combien vous tenez à elle et à votre relation, bref, rassurez-la avec sincérité.
• Exprimez-lui aussi vos attentes, bien sûr : un échange de concessions est toujours plus efficace.
• Ensuite, consentez un léger effort de modestie : complétez votre information sur les moyens de vivre une vie de couple harmonieuse, les attitudes requises et le bien-être éprouvé en évitant simplement quelques chausse-trappes. Connaître ainsi chaque jour, des moments de bonheur à deux, c'est grisant ! Allez, bonne chance à tous les deux.
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Problème : « Mon conjoint m´a trompée. Je lui ai 'pardonné' mais, malgré ses efforts j´ai du mal à lui refaire confiance. Je l´ai beaucoup mis de côté durant mes grossesses. Aujourd´hui, je prends plus de temps pour lui mais j´aimerais avoir des conseils pour le rendre heureux. » Samia (France)

Oh, comme je vous comprends… C'est vrai qu'en plus des soucis, de la fatigue et de toutes les charges, qui restent à remplir même quand elle est enceinte, il n'est pas toujours facile d'être une femme "disponible".
Et le mari, "mis de côté", se sent un peu exclu de la relation fusionnelle de sa femme avec ses enfants ou futurs enfants. Ainsi devient-il plus… vulnérable. Et quand, sans nullement l'avoir cherché, il lui arrive de rencontrer une personne qui lui semble plus douce, gentille, séduisante et sensuelle, il ne peut pas toujours résister à tentation...
Est-ce pour cela qu'il faut croire qu'il ne vous aime plus ? Mais, non : je suis certain qu'il regrette son faux-pas.
Les remèdes ?
• vous PARLER ;
• Vous montrer plus tendre ;
• lui expliquer calmement et chaque jour, quelles sont vos attentes : par exemple le voir plus solidaire ? Plus respectueux, plus gentil ? Plus attentif ? Prêt à vous sortir à l'occasion ? Á vous faire des compliments sincères ?
• Lui exprimer ce que vous ressentez plutôt que lui faire des reproches, aidera beaucoup à votre entente.
• Lui rappeler, gentiment, que c'est… à lui de regagner votre confiance en se montrant un bon mari à tous points de vue, notamment en vous aidant davantage, en s'occupant aussi des enfants sans vous laisser 'tout le boulot' ! Etc.
Mais en définitive, si vous l'aimez encore et que vous faites un léger effort pour davantage vous parler, tous les jours, le temps viendra où vous pourrez envisager de vraiment lui pardonner son écart : aucune relation solide et durable ne peut se concevoir sans la notion de pardon des erreurs. Mais ça fonctionne aussi dans l'autre sens, bien sûr !!
Vous souhaitez des "conseils" pour le rendre heureux ? Réalisez-vous que pour cela, il est nécessaire que vous aussi soyez plus heureuse ? Je n'ignore pas qu'aux yeux d'un musulman, la femme est considérée plus ou moins comme "inférieure" ; qu'elle doit obéir, se montrer soumise, etc. Eh bien, pourquoi ne lui montreriez-vous pas la voie vers plus d'égalité entre vous ? C'est ce que réalise depuis 50 ans cette brillante avocate tunisienne, Madame Gisèle Halimi.
Voyez entre autres son livre : "Ne vous résignez jamais !
Si vous voulez avoir une vie vraiment heureuse à ses côtés, si vous voulez que vos enfants et en particulier vos filles si vous en avez, aient un avenir plus souriant, vous pouvez vous aussi, à votre niveau familial, contribuer à une noble cause en vous impliquant pour améliorer la condition de la femme musulmane. En aidant votre mari à ouvrir son esprit, vous vivrez une vie de couple plus heureuse, car vous serez tous les deux, "plus heureux".
Pour cela, préférez un dialogue affectueux et quotidien aux jugements agressifs, aux critiques acerbes, aux reproches durs (et inutiles) : communiquer chaque jour, voilà l'essentiel, si vous souhaitez améliorer la qualité de votre vie de couple et, tout à votre aise, modifier pas à pas, son point de vue sur les femmes – et sur vous en particulier.
Vous voulez "le rendre heureux" ? Compléter votre information sur ce que peut et devrait être une vie de couple harmonieuse et féconde, vous aidera sans aucun doute : le bonheur à deux est aussi à votre portée, il suffit d'un peu de bonne volonté et de passer à l'action. Bonne chance.
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Problème : « Je suis d'origine asiatique, mariée à un Français. Nous avons deux filles, de 8 ans et 11 ans. Mon mari est très violent et m'espionne sans cesse. Il frappe les petites et en est fier : pour lui, c'est une bonne éducation. Il leur dit aussi beaucoup de mal de moi au point que les filles se fâchent contre moi. Je dois demander la permission pour tout ce que je fais, sinon il m'accuse d'être une menteuse ou une voleuse. Il y a encore bien d'autres choses à vous raconter... Déjà, merci de m'avoir lue et de me donner des solutions. » Haï Ji (France)

Je suis consterné d'apprendre ce que vous vivez. Mais je crains que ma 'solution' ne soit pas celle que vous espériez…
En se permettant de frapper vos petites filles, votre mari contrevient à la Loi ; de plus, il doit sûrement vous avoir aussi frappée, vous. Ce qui est un délit grave.
S'il dit du mal de vous à vos filles, il compromet leur équilibre psychologique et les traumatise. Ce qui est très grave également.
Inciter de jeunes enfants à ne plus avoir de respect pour leur Maman est impardonnable. Cela prouve en plus qu'il n'éprouve pour vous ni amour ni respect. Rester auprès de lui signifierait donc compromettre à jamais toute chance de vivre en harmonie, de connaître le bonheur paisible auquel vous avez droit.
Je suis désolé de vous le dire, Haï Ji, mais un homme violent ne change jamais. Il ne faut pas croire de possibles promesses : ses violences et sa jalousie extrême ne cesseront pas.
Mon 'créneau' est, vous l'avez lu, d'aider autant que possible à "raccommoder" les couples. Toutefois, il existe bien sûr des situations inacceptables ; vous suggérer un effort patient de communication serait vous exposer à des risques. Les violences, verbale et physique, vous détruisent. La SEULE solution en ce cas est donc la séparation : Haï Ji, vous et vos filles, avez aussi le droit d'être heureuses, le bonheur n'est pas réservé aux autres !
Si vous cliquez ici, avec la souris, vous pourrez lire un article sur le sujet. Faites exactement ce que cet article conseille, car la violence et la jalousie morbide sont des maladies comme l'alcoolisme : il faut un très grand courage et une grande persévérance pour en sortir.
Sauvez-vous avec vos filles ! Dans tous les commissariats de police, on vous donnera des noms de foyers pour les femmes victimes de violences. Vous y trouverez un(e) avocat(e) qui vous apportera une aide juridique gratuite pour vous libérer de cet homme.
Attention, Haï Ji, vous devez agir sans tarder : sinon vous allez vous enfoncer, abdiquer votre dignité de femme et compromettre l'avenir de vos filles.
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Problème : « Je deviens nerveux et froid avec ma femme, car elle est toujours 'fatiguée', avec les deux enfants. » Pierre-Dominique (Suisse)

Ne prenez-vous pas le problème à l'envers ? Il est tout à fait possible que votre femme soit vraiment fatiguée : deux enfants, ça peut vite être 'tuant'. Elle a donc besoin de votre aide, de votre soutien, de votre chaleur humaine, de votre tendresse. Sinon, vous allez la perdre…
Le 'truc', dans une situation comme celle-là, c'est d'agir. Comment ?? D'abord,
• en lui parlant, – en ami ! Pas en étranger "nerveux et froid" ;
• en vous intéressant à sa vie : elle peut être lasse de la routine, de la monotonie, des frustrations ;
• en essayant de la surprendre et surtout, de la faire rire ;
• en l'aidant davantage : il est merveilleux pour elle de vous sentir solidaire ;
• en lui demandant de vous expliquer ses attentes ;
• en vous informant sur sa santé et en consultant avec elle un médecin : sa fatigue peut être due à un surmenage, à de l'anémie, des troubles hormonaux, une infection, un état dépressif…
• en lui montrant, dans l'intimité, que vous avez le désir de la séduire encore ; que vous êtes tout aussi attentif à son plaisir qu'au vôtre ;
• en partageant avec elle diverses activités intéressantes et des sorties, etc.
Mais le 'pompon', si vous le pouvez au plan de l'organisation et du budget, serait de partir, seuls à deux, pour 3 à 8 jours, afin de décompresser et de vous retrouver.
Appliquer ces différentes suggestions et compléter votre information sur les divers aspects de la vie de couple dans les conceptions d'aujourd'hui, vous fera franchir un fameux pas en avant vers une normalisation de la situation. Vous pourrez vous aussi, revivre l'harmonie et vous sentir à nouveau bien l'un avec l'autre !
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Problème : « Très faible libido de ma compagne. Que faire pour la 'réveiller'... ? » Rémi (France)

Facile ! Il vous suffit de déterminer les causes de cette indifférence, de ce manque d'entrain envers l'intimité. Elles sont généralement d'ordre :
• médical (fatigue, anémie, dépression due au surmenage, troubles hormonaux,….) ou, plus souvent,
• psychologiques (le plus souvent) :
• Routine ? Habitude ? Exaspération due à la monotonie de sa vie ?
• Frustrations dans la vie quotidienne ?
• Frustrations au lit ?
• Impression de ne plus être aimée ou respectée comme avant ?
• Lassitude due à des soucis financiers, professionnels ou familiaux ?
• Sentiments pour une autre personne ?
• Sensation que ses attentes ne sont plus rencontrées ?
• Impression d'indifférence du partenaire ?
• ............
Que faire en pratique pour déterminer l'origine du problème ? C O M M U N I Q U E R !
• Parlez-lui;
• montrez-lui que vous vous intéressez à sa vie;
• demandez-lui ce qui lui ferait plaisir ;
• interrogez-la sur ses attentes : elle n'ose peut-être pas vous les révéler.
• allez avec elle consulter un médecin, spécialiste en médecine interne : des analyses de sang révèleront si elle souffre de carences et elle pourra alors suivre un traitement éventuel.
• Ensuite, pensez aux préliminaires. Mais pas seulement cinq minutes "avant"... En effet, la séduction ne commence jamais dans la chambre. Vos attitudes dans la vie quotidienne, tout au long de la journée, votre façon de la faire rire, vos idées pour la surprendre, – voilà ce qui peut vous aider.
Et bien sûr aussi, compléter votre information sur les divers aspects de la vie de couple pour continuer à la séduire… ou la reconquérir. Tout cela est développé dans le livre électronique présenté  ici.
Voyez également des articles sur le sujet en cliquant ici.
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Problème : « Comment maîtriser mon mari, quand il se fâche à tort ? » Véronique (Corse)

Comment ?? Mais c'est extrêmement simple ! En restant parfaitement calme et en le fixant dans les yeux, sans parler, jusqu'à ce qu'il ait fini.
Quand, intrigué par votre silence, il se taira, OSEZ lui expliquer, posément, ce que vous ressentez lorsqu'il se montre ainsi, injuste et irrespectueux envers vous ; dites-lui la peine que vous éprouvez ; votre chagrin de constater que vos efforts ne sont (presque ?) jamais récompensés par un mot gentil, un sourire, un baiser ou un compliment... ; votre découragement de constater que seul ce qu'il considère comme des manquements, des erreurs ou des fautes, est remarqué. En revanche,
• si vous répondez à son agressivité sur le même ton ;
• si vous criez comme lui ;
• si vous pleurez ;
• si vous lui faites des reproches (même justifiés) ;
• si vous lui lancez des critiques, – alors, vous tournez en rond sans rien faire avancer.
Vous ne le réalisez peut-être pas : TOUT homme est vraiment impressionné, quand sa femme reste digne, calme et se comporte en adulte équilibrée pour régler un conflit. Constater qu'elle fait face sans peur, qu'elle maitrise parfaitement la situation sans se démonter, en égale, – pas en petite fille soumise, voilà qui épate inévitablement un homme. Surtout, s'il est habitué à voir sa femme obéir, se soumettre, plier sans conditions…
Un 'truc' qui fonctionne de façon étonnante, est aussi de se parler tous les jours. Vers la même heure, à un moment où vous êtes certaine de ne pas être dérangés, vous vous asseyez auprès de lui et vous parlez tous les deux, tranquillement, comme des amis, pendant un quart d'heure :
• Chacun écoute l'autre, sans l'interrompre.
• Chacun exprime son point de vue.
• Chacun explique à son tour ce qu'il souhaite, attend ou espère de l'autre.
• Chacun accepte d'échanger des concessions.
Vous serez tous deux stupéfaits de voir que le climat à la maison se transforme du tout au tout, seulement parce que vous restez calmes. Il importe de ne jamais accepter la violence psychologique ou verbale : un jour, elle dégénère en coups !
De cette façon, vous vous ferez davantage respecter , – par votre mari, par vos enfants éventuels et par votre belle-famille.
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Problème : « Mon copain, Michel, habite très loin... On vit une relation à distance, depuis 18 mois. Mais il change chaque fois : il a beaucoup de problèmes et je dois toujours faire preuve de patience. Il me demande de l'aider mais dans des domaines où je ne peux vraiment pas le faire. Je ne sais pas que faire avec lui. Pourtant je l'aime beaucoup. » Khadija (Maroc)

Vous ne savez pas que faire ?? C'est simple, cependant : il suffit de... réfléchir. Vous réaliserez alors plusieurs points :
• Une relation à distance est toujours source de frustrations, de souffrances et de problèmes (notamment d'infidélité).
• Si, déjà maintenant, "il change chaque fois", s'il n'est pas sûr de lui ou de ses sentiments, s'il est indécis, quel sera donc son comportement, si un jour vous deviez vivre ensemble ?? Il serait dangereux de vous leurrer sur cet aspect de son caractère : c'est votre vie et votre bonheur qui sont en jeu.
• S'il vous demande des choses "que vous ne pouvez vraiment pas faire", pense-t-il assez à vous, à votre bonheur ? Ou ne songe-t-il qu'à lui ? Serait-il indifférent ? Voudrait-il que vous l'aidiez sans s'intéresser aux conséquences pour vous ?
• Vous l'aimez "beaucoup" ? Est-ce suffisant pour envisager une relation durable avec 'Michel' ! Sans compter les réelles difficultés futures, s'il est – comme je l'imagine – étranger à votre pays, à votre culture et à vos principes religieux…
Quand vous aurez pu vérifier par vous-même le bons sens de ces observations, vous comprendrez que, malgré le chagrin à prévoir pendant un temps, il serait sage de mettre un terme à cette relation "à distance" qui, déjà maintenant, vous cause bien du souci et du chagrin. Bon courage, soyez heureuse !
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Problème : « Manque de confiance, jalousie, disputes ; je l'aime toujours mais on n'arrive pas s'entendre… Aidez-moi. » Salimata (Mali)

• TOUTE solution à un problème de couple passera toujours par une amélioration de la communication : le premier moteur du couple est le dialogue.
• Il existe diverses techniques très simples à appliquer dans la vie quotidienne, pour arriver à se parler chaque jour, – non seulement comme des adultes, matures et équilibrés, mais même comme des amis ! Les amis s'écoutent l'un l'autre, se témoignent du respect ; écoutent les points de vue de l'autre, sans être forcés de les partager, et se font mutuellement confiance.
• Vous devez savoir, Salimata, que les concepts actuels de la vie de couple dans les sociétés qui se tournent vers le progrès, sont de plus en plus tournés vers l'égalité de droits entre hommes et femmes ! Fini le temps où la femme devait obéir, se taire et se soumettre. La femme est enfin, à présent, l'égale de son mari ; ses opinions, comme ses idées, comptent autant que les siennes. Elle a le droit d'être et de penser différemment ; elle a le droit d'avoir sa personnalité individuelle.
• C'est pourquoi il est si important de se parler chaque jour, pour ne pas laisser croître en votre cœur des frustrations, des rancœurs et de l'amertume. Pour cela, il vous suffit chacun d'oser exprimer ce que vous avez sur le cœur et ce que vous aimeriez voir changer entre vous.
• Un des moyens pour diminuer les disputes est évidemment d'éviter les reproches, les critiques et les pleurs : il est bien plus facile et efficace de dire simplement à votre partenaire les regrets que vous éprouvez devant tel ou tel fait et ce que vous voudriez, cela, en gardant un ton normal. Proposez-lui un échange de concessions : chacun fait un pas en avant et ainsi peut-on s'accorder sur un compromis qui vous satisfait tous les deux. J'aimerais bien vous résumer tout mon livre en un email – mais comment ??
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Problème : « Je m'énerve trop vite contre ma femme et je manque de confiance en elle. Je ne sais pas comment lui faire plaisir parce que j'ai pas les moyens de le faire autant que je le voudrais. » Ousseynou (Sénégal)

Il ne faut pas toujours dépenser beaucoup d'argent pour faire plaisir à sa femme !!!
Avec un tout petit peu de bonne volonté, Vous pourriez changer tout à fait le climat entre vous et retrouver à nouveau une entente harmonieuse : il suffit d'avoir quelques attentions :
• Lui dire des mots gentils ;
• Lui faire des compliments ;
• Vous montrer tendre à l'occasion et pas seulement quand vous avez envie d'intimité ;
• Lui montrer davantage de patience ;
• Penser à l'aider dans ses tâches ménagères : elle aussi aimerait pouvoir flâner plus souvent !
• Montrer de la considération pour ce qu'elle fait toute la journée à la maison,
• et du… respect pour sa personne !
• Penser à lui parler plus souvent : de l'avenir, des enfants, des projets, ... et surtout,
• lui demander de vous expliquer ses "attentes", – ce qu'elle aimerait, espère ou souhaite, dans les différents domaines de votre vie de couple... En particulier que vous lui fassiez plus confiance ;
• Lui montrer souvent que vous avez pensé à elle, dans la journée, en lui rapportant quelque chose qu'elle aime bien : une fleur, un gâteau, une pièce de tissu, … … … … … … … … … … … … …
Commencez par là : vous verrez qu'elle vous regardera d'un autre œil et que vous vous entendrez mieux ! Parce que si vous criez contre elle pour des bêtises, elle ne se sent pas respectée, elle se sent plutôt comme votre domestique non payée…
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Problème : « Pour ma copine, ce sera sa première fois. Quel lubrifiant et quelle attitude conseillez-vous ? » Roger (Côte d'Ivoire)

Voilà une question intéressante – et utile ! Il convient de vous rappeler avant tout que :
• le premier et le plus puissant de tous les aphrodisiaques est… l'amour : ce sentiment exalte le désir de votre amie quand elle se trouve dans vos bras – et que vous faites 'ce qu'il faut'.
- L'idéal sera donc de lui exprimer votre amour et votre tendresse, avant votre désir ;
- de lui faire des compliments sur sa beauté et son charme ; sur ce qui vous plaît en elle, etc. ;
- de prendre tout votre temps à l'embrasser et à la caresser.
En effet, pour une entente optimale dans l'intimité (et une relation durable), il est important de lui faire comprendre qu'elle n'est pas, à vos yeux, d'abord un 'objet sexuel'. Ignoriez-vous que, chez la toute grande majorité des femmes, les sentiments sont le catalyseur le plus efficace de la sensualité ?
• Tous les lubrifiants que vous trouverez en pharmacie conviennent ; notamment le SENSILUBE ® (Durex). Pas de complexes ou de timidité superflue : demandez conseil au pharmacien ou à son aide. Sachez que c'est une grande qualité pour un homme d'être attentif à ce que 'tout se passe bien'.
Utilisez le lubrifiant en abondance A V A N T la pénétration, pour 'préparer' votre amie. Si vous parvenez, par vos gentilles 'attentions', à l'exciter vraiment, sa lubrification naturelle ne sera pas négligeable.
• Le lubrifiant qui recouvre d'office votre préservatif joue aussi un rôle utile.
• Pour une jeune femme, il est d'une extrême importance que les premiers rapports sexuels de sa vie, lui laissent un souvenir délicieux… Pour ça, existe un "truc" : PRENDRE TOUT SON TEMPS.
• Veillez aussi à n'interrompre à aucun moment, le contact physique et les mots gentils.
Bonne chance à tous les deux !
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Problème : « Mon mari me reproche de n'être pas en mesure de le satisfaire au plan sexuel. » Diariatou (Sénégal)

Bonne nouvelle : ce problème peut facilement être surmonté !
• Bien entendu, j'ignore si vous aussi avez été la victime de cette affreuse et si cruelle "tradition" africaine qu'est l'excision… Si c'est le cas, vous devez savoir que la médecine actuelle a fait d'énormes progrès pour aider les femmes excisées et cousues. Dakar ou d'autres grandes villes sénégalaises possèdent des hôpitaux où des chirurgiens gynécologues pratiquent une intervention, (mineure) pour rendre à ces femmes la faculté de connaître ou d'augmenter le plaisir, – et de le partager.
En effet, comment une femme pourrait-elle souhaiter des rapports intimes et y être bien disposée, si, pour un motif d'ordre médical, (mutilation, infection...), ces moments sont pénibles ou douloureux ??
• Si vous avez échappé à cette terrible épreuve, le problème est vraiment simple à résoudre, SI vous prenez la peine d'en déterminer la cause exacte :
• Aimez-vous votre mari ? Et lui, vous aime-t-il ??
• Votre mari est-il assez tendre ?
• Se soucie-t-il vraiment de vous et de votre bonheur ?
• Pense-t-il à vous caresser, à vous embrasser ? À vous dire des mots gentils ?
• Ou bien son seul centre d'intérêt est-il son propre plaisir ?
• Comprend-il qu'il faut séduire sa femme par des attitudes affectueuses, en lui montrant de la solidarité, de la considération, des attentions ?
Car, si l'on désire que sa femme fasse bien l'amour, il ne suffit pas de la considérer comme un "objet" utile pour satisfaire un "besoin" physique : la séduction se prépare.
• Si vous avez du désir pour lui mais que vous êtes timide ou manquez "d'expérience", cela peut vite s'arranger ! Comment ?
En vous parlant, en lui expliquant ce que vous ressentez, comment vous aimeriez qu'il s'y prenne, ce que vous aimeriez qu'il fasse, et en prenant vous-même des initiatives sur ce plan.
Quelles initiatives ? Je vous les indiquerais avec plaisir, chère Madame… mais, en vérité, pour compléter votre information, je n'ai pas la place dans un email. Par contre, toute une section de mon livre électronique y est consacrée ; cette lecture ne manquera pas de vous aider tous les deux à considérer d'un autre œil votre vie sexuelle.
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Problème : « Mésentente entre ma fille de 4 ans et mon compagnon, arrivé dans ma vie il y a 8 mois. Il vient de quitter la maison, non parce qu'il ne m'aime plus mais parce qu'il ne supporte plus ma fille : elle est jalouse de lui, craint qu'il ne me prenne à elle. Lui voudrait vivre plus pour nous deux. J'envisage donc de consulter un pédopsychiatre pour la petite, afin de débloquer la situation. » Ophélie (France)

Ne pensez-vous pas que vous déplacez le problème ? La source de vos difficultés n'est pas elle mais lui : qui est l'adulte ? La réaction de votre fille (crainte subconsciente d'abandon) est simplement normale. Ce n'est pas le cas de la sienne et vous ne pouvez attribuer des 'torts' à une enfant de 4 ans : elle est loin de l'âge de raison. L'envoyer, si tôt et pour un motif discutable, chez un pédopsychiatre constituerait des frais, actuellement injustifiés à mon sens. Par contre, si vous tenez tant à lui (apparemment davantage que l'inverse), faites le test : envoyez-le lui, chez un psy. Vous serez alors en mesure de déterminer sa bonne volonté et son désir sincère de s'impliquer dans votre bonheur.
"Quand on aime un arbre, on aime ses branches, ses fleurs et ses racines…"
Quatre ans est un âge adorable ; si, déjà maintenant, il y a 'conflit' entre eux (!!?), restons lucides : comment pourriez-vous espérer le moindre avenir à cette relation ? Imaginez-vous l'atmosphère à la maison quand votre petit bout aura 14 ans et fera, tout à fait normalement, sa crise d'adolescence ?
Voudriez-vous sacrifier le 'trésor de votre vie' pour satisfaire un partenaire qui semble, à première vue en tout cas, non pas vous aimer et vouloir vous rendre heureuses toutes les deux, mais se comporter comme le ferait un homme égoïste et immature ? Votre fillette n'a pas demandé à être là et vous savez mieux que moi combien elle est importante dans votre vie.
Conclusion : ne vaut-il pas mieux pour vous (deux) vivre quelque temps seules, que mal accompagnées ? Si une période de solitude peut être dure, elle l'est bien moins qu'une vie de disputes, de regrets et de frustrations, tiraillée entre une enfant qu'on aime et un homme qui pourrait bien sembler vous 'aimer' (mais surtout pour lui, – pas pour vous. Même s'il vous désire…)
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Problème : « Nous sommes mariés depuis 13 ans et avons 4 enfants. Mon mari me reproche à présent une relation préconjugale. (...) Finies la tendresse, la complicité, bref la relation d'antan, – même si nous conservons des rapports intimes. Plus de communication, plus de rires, il reste muet depuis des mois. Je suis convaincue qu'il a 'quelqu'un d'autre' et je n'en puis plus. (...) M'aime-t-il encore un peu ?? Je crois que je devrais partir. » Monique (Cameroun)

Votre situation est fort délicate et vous en avez cerné les divers aspects avec maturité et intelligence. Sans vous connaître ni l'un ni l'autre, je ne peux me baser que sur vos impressions, sur ce que vous ressentez… et décrivez si bien. On vous devine 'assoiffée' d'amour et de tendresse et animée de bonne volonté, impatiente de retrouver votre homme "comme avant".
Toutefois, ce ne sont pas de "bonnes paroles", lénifiantes que vous me demandez mais une réponse lucide, sincère, objective… C'est ce qui m'embarrasse.
Comme je vous l'écrivais dans un précédant mail, l'attitude de macho, sûr de toujours avoir raison et imposant ses points de vue, sa façon de voir les choses, son "autorité", traduit un manque réel de confiance en soi et d'assurance, – tous les psy s'accordent sur ce point, à ma connaissance.
D'autre part, 13 ans de mariage, quatre enfants, voilà une réalisation concrète ! Qui devrait vous rapprocher, vous permettre à tous les deux de vous 'agripper' à ces repères solides que vous avez construits ensemble, pour REconstruire une relation saine. Aussi, je comprends mal ce qui a éloigné ainsi votre mari. Ce faux prétexte, ridicule, de vous reprocher une liaison précédant votre relation semble particulièrement léger. Est-ce un moyen un peu… lâche, de rejeter sur vous la culpabilité qu'il éprouve face à ses propres manquements, à sa propre inconduite ?
Vous me posez LA question délicate, "M'aime-t-il encore ??" ; mon impression est assez négative… Votre mari semble agir en fait, comme s'il en aimait plutôt une autre. À côté de ce faux prétexte, aurait-il d'autres reproches envers vous, d'autres griefs ? Car, voyez-vous, Monique,
• si vous ne pouvez plus lui faire confiance,
• si vos seuls rapports sont de nature (excusez l'expression…) hygiénique,
• s'il n'apporte plus rien à votre relation en matière de communication, de solidarité, de tendresse, de chaleur humaine, d'affection, … – mais alors, que reste-t-il de l'homme amoureux qui vous faisait la cour en 1999 et vous promettait une vie heureuse à ses côtés ?? Le croyez-vous vraiment incapable de réaliser, de comprendre l'urgence, pour le bonheur de vos enfants comme pour le vôtre, de se ressaisir ?
Selon vous, il aurait une relation extra-conjugale qui semble retenir toute son attention, aux dépens de sa propre famille. Mais, en dépit de ce que vous dites sur les "habitudes" de votre pays, ce n'est nullement à vous de partir ! Imaginez-vous avec vos 4 enfants, contrainte de trouver un autre logis, de devoir peut-être vous chercher un (autre ?) travail pour compenser les revenus de votre mari ? Cette situation serait d'une injustice révoltante.
Toute solution à une crise de couple aussi pénible passera toujours par une bonne communication, un dialogue confiant, franc et sincère ; pour réparer une relation, il faut pouvoir se fier à l'autre, se dire chacun, ce qu'on garde sur le cœur. Mais comment procéder avec un homme qui reste muet, refuse le contact, veut toujours imposer ses vues et avoir "raison" ?
En lui écrivant une courte lettre, peut-être ? Mais alors, pour être sûre qu'il la lise,
• en exposant brièvement des faits, – non des reproches ;
• en décrivant seulement votre chagrin, votre ressenti objectif, vos attentes déçues, vos frustrations, – sans critiques ni jugements ;
• en mettant en avant le bonheur de vos enfants, leur besoin de la présence d'un père qu'ils admirent, qui les aime et se soucie de leur équilibre et de leur avenir ;
• en expliquant votre capacité à comprendre que tout être humain peut éprouver un jour des sentiments pour une autre personne : ça peut s'attraper comme un mauvais rhume, sans qu'on l'ait voulu ! En particulier après quelques années, quand la routine et l'habitude ont entaché la vie de couple ; quand on ne partage plus assez de valeurs et d'activités en commun ;
• en l'assurant de votre bonne volonté pour tenter avec lui, de réparer le climat familial et d'ainsi construire un futur harmonieux pour tous les six ;
• en l'informant que celui ou ceux que vous avez connus avant de le rencontrer n'ont pas compté dans votre cœur ; que seul lui a été 'l'homme de votre vie' ; que vous lui demandez avec amour, d'arrêter ses reproches à ce sujet.
En me mettant un instant à votre place, je ne peux que comprendre votre légitime déception devant son absence de bonne volonté, son refus de contact. C'est ÇA qu'il faut changer en priorité !
SANS DU TOUT vous 'soumettre' aveuglément à sa prétendue autorité ou supériorité 'de mâle' mais en restant vous-même, sincère, authentique, votre expérience de la vie vous aidera à influer doucement sur l'atmosphère générale au sein de votre famille. Certes, la tâche sera complexe : les sentiments sont fragiles ; quand la bonne volonté n'existe que d'un seul côté, beaucoup de patience et d'abnégation sont nécessaires pour les ranimer.
En ce qui concerne d'hypothétiques "honoraires", je suis touché par votre délicate attention. Cependant je ne vous ai pas écrit pour gagner de l'argent mais par sympathie : je comprends ce que vous vivez. Par contre, compléter votre information en acquérant mon livre vous aidera concrètement, j'en suis certain. D'un autre côté, si vous souhaitez continuer cette correspondance un certain temps, vous pouvez aussi participer à mon programme de coaching individuel par e-mails.
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Problème : « Je reviens vers vous, car je me sens très seule pour faire des choix et prendre des décisions. Mes enfants sont grands et j'avais recommencé un travail à temps partiel. Mais mon mari, agriculteur acharné au travail, ne l'a jamais accepté. J'ai donc tout arrêté pour le bien de ma famille. Je voulais vous en informer et vous demander conseil. » Griselda (Suisse)

Après avoir lu votre lettre, très digne, lucide et posée, j'ai pris le temps de réfléchir à une réponse. Mais elle ne diffère guère de celle que je vous ai écrite dans le passé.
Il est en effet très beau et méritant de vous sacrifier pour vos enfants ; est-ce vraiment un "devoir" ? Je ne le pense pas. Car vous aussi, avez le droit d'être heureuse. Vous avez le droit d'être, de penser, d'agir et de réagir, différemment de votre époux , – et d'avoir un minimum d'autonomie.
Votre mari est devenu difficile à supporter ? Soit. Est-ce une raison pour le laisser gâcher votre vie ? Cette vie qui est encore devant vous ? (Suite entre vos lignes)
"Depuis que j'ai arrêté mon job, je suis seule à la maison et ma vie est fade."
Votre mari vous voudrait-il "à sa botte" ? Sans réaliser qu'à défaut d'un peu de compréhension, sans un peu d'empathie, il risque tout simplement de vous perdre…?
"Mes enfants vont mieux, ils ont retrouvé sérénité et confiance en eux."
Malheureusement, aux dépens des vôtres et de votre équilibre. Ainsi se forgent solitude et frustrations : vous ne pouvez pas vous couper du monde, sous le faux prétexte d'exigences illogiques d'un époux qui montre un esprit fermé et, disons-le, … rétrograde.
"Les cris de leur père quand j'avais recommencé un travail leur ont laissé un mauvais souvenir. Mais si, du côté job, c'est 'rentré dans l'ordre', les reproches continuent à pleuvoir."
Il conviendrait de faire comprendre à votre mari une vérité toute simple : il se trompe de priorités. Quand on a une famille, travailler comme un forcené ce n'est pas forcément gagner sa vie ; ça peut la perdre.
Ses vraies priorités sont le bonheur de sa famille, voir ses enfants grandir, participer avec vous à leur éducation, leur inculquer des valeurs, s'assurer de leur ouverture sur le monde.
Il exerce un beau métier mais, s'il faut bien travailler pour vivre, vivre pour travailler est une erreur. À quoi servirait une vie de labeur, si sa femme et ses enfants s'éloignent de lui, redoutent ses colères, voient s'égrener les années dans les regrets, les frustrations, l'amertume et l'insatisfaction ??
Vouloir étoffer son compte en banque ne justifie jamais d'y sacrifier le bonheur familial.
"Il se réfugie dans le silence, n'accepte aucun échange ni dialogue, en cas de conflit."
C'est le drame des esprits irréfléchis, qui s'appuient sur d'hypothétiques privilèges liés à la "tradition" d'autorité de mari et père, pour imposer leurs points de vue, – sans tenir compte aussi des opinions de leurs proches. Attitude typiquement macho qui en fait, cache… un manque de confiance en soi. Il est difficile d'en changer quand on a été éduqué de cette manière. L'ennui est qu'au XXIe siècle, autorité, respect et amour doivent se mériter. Ce qui est une toute autre affaire.
"Il n'énerve très facilement ; quand il explose, ça fait très mal."
La violence verbale est une forme grave de violence (cliquez sur ce lien). Elle dégénère trop souvent en coups et ça, c'est inadmissible, RIEN ne peut l'excuser.
"Nos 16 premières années de vie commune ont, dans l'ensemble été bonnes. Mais depuis deux ans, c'est la galère. Je ne comprends pas pourquoi."
Aurait-il de gros soucis financiers ou autres ?
"Je pensais que c'était dû à mes brèves absences professionnelles. Mais les disputes pour des peccadilles n'ont pas cessé. Mon mari s'en prend à moi ou aux enfants. Il crie et nous accuse de tous les maux. Forcément, je réponds aussi et tout s'envenime."
N'est-ce pas tellement normal ?
"il m'arrive de regretter mes paroles, pourtant c'est la vérité. Ces disputes n'arrivaient jamais avant. Il n'accepte pas que je puisse dire les choses."
C'est précisément LE point qui serait important à résoudre. Or, ceux qui affectent de vouloir toujours commander, imposer et avoir raison, "parce qu'ils sont le chef", refusent ce privilège à leur entourage : ils ont raison, donc ils n'ont pas à écouter les autres. Raisonnement dépassé et affligeant mais bien des hommes pensent ainsi.
"À ses yeux, j'ai toujours tort, je ne comprends rien, je le "provoque". Hier, une bête était paralysée suite à un vêlage difficile. J'ai demandé ce qu'elle avait. Furieux, il m'a répondu très méchamment ; le soir, mon garçon a posé la même question ; il a alors éclaté, nous reprochant de ne nous intéresser à rien, de lui laisser tout le 'sale boulot'..."
Il lui faut absolument trouver un 'bouc émissaire' à tout ce qui ne va pas : étant parfait, il ne peut donc en être tenu, lui, pour responsable. À d'autres donc, de 'porter le chapeau' !
Affligeant. Je crains de ne pas voir d'autre issue pour vous que de lui mettre clairement et posément "le nez dedans". C'est-à-dire, de lui expliquer (verbalement ou par écrit), vos attentes précises. Toujours en évitant au maximum les reproches directs : n'oubliez pas de mettre le mot TU dans votre poche ! Remplacez-le systématiquement par le mot JE. (Comment en vouloir à quelqu'un qui se limite à exposer son propre ressenti ??)
"Nous n'avons évidemment pas compris pourquoi il s'en prenait à nous sans raison. Le ton est monté, les enfants se sont mis à pleurer et sont partis se coucher. Il s'en est pris ensuite à moi. J'ai entendu tous les reproches imaginables. Comme c'était arrivé souvent ces derniers temps, je m'étais juré que je n'accepterais plus jamais cette violence verbale. Je suis sortie."
Vous avez fait preuve de sang-froid et c'était là une réponse de 'moindre mal'.
"Il m'a poursuivie en hurlant : tout était de ma faute (!!?). Je ne peux plus supporter cette vie ; j'ai peur de lui."
C'est pourquoi j'écrivais plus haut qu'il allait vous perdre. À mon sens, il doit avoir un problème psychologique sérieux, peut-être lié au sentiment général d'insécurité dans le secteur de l'agriculture, même en Suisse ?
"Par souci de mes enfants, je suis revenue à la maison. Mais depuis, il reste dehors, n'assiste plus aux repas, fait comme si je n'étais pas là. Ce comportement non mérité est très dur."
Dur et inadmissible, car vous ne semblez pas avoir donné prise à des reproches justifiés.
"Que dois-je faire ? Sans dialogue ni réponse à mes nombreuses lettres ?"
Ses réponses ont peu d'importance : ce qui compte c'est qu'il vous lise et enregistre. Malheureusement, votre sens du sacrifice pour vos enfants vous retient de lui poser l'ultimatum qui le ferait peut-être réfléchir : « JE ne peux plus vivre dans un climat familial aussi tendu et démoralisant ; JE vais partir avec les enfants, si la situation ne change pas du tout au tout. » "Je ne veux pas perturber mes enfants adolescents ; ils veulent apprendre le même métier. Je dois rester pour eux. Mais je suis malheureuse, sans argent, sans amis à qui parler."
D'ici quelques années, vos enfants auront leur vie ; quand ils quitteront la maison, sans se soucier vraiment de votre vie, imaginez-vous le vide qui suivra ? Même s'ils pensent aujourd'hui succéder à leur père, le voudront-ils encore après avoir subi cinq ans de plus, ce climat familial si délétère ?
"Faut-il que j'accepte tout ?" NON
"Dois-je présenter des excuses, malgré que ce que j'ai dit me semble vrai ?" NON
"Comment faut-il agir ?"
À votre place, je "prendrais le taureau par les cornes"… Il a prouvé son insensibilité aux arguments raisonnables. Imprimez cet d'email et montrez-le lui. Le style en est raisonnable et posé. Si cette lecture restait sans effet, il resterait… l'ultimatum. (Je ne l'imagine guère en effet, se 'déballer' chez un psy...)
"S'il a des problèmes, comment faire pour qu'il parle ?"
Lui prouver qu'il a tort, par vos actes : en vous montrant conciliante quand c'est possible et réellement intéressée par ses tâches.
"Comment se retrouver et que tout redevienne comme avant ?"
Pour ça, Griselda, il devrait changer. Radicalement. Le pensez-vous envisageable ? Je crois plus réaliste de l'avertir très sérieusement de votre désir de séparation. Mais attention, cette décision doit rester crédible. Si chaque fois, il bénéficie d'une 'dernière chance' de vous garder, il ne vous croira plus. Or, il y a moyen, en restant digne, ferme et posée, de montrer que vous en avez assez.
"Merci de m'avoir écoutée, ça me soulage aussi."
Avec plaisir. Bon courage. Vous aussi avez droit à la sérénité et au bonheur.
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Problème : « Après 25 ans de mariage, je suis à bout, en pleine crise de couple, dont je ne vois pas l'issue. Je ne supporte plus l'absence de tendresse, d'amour et de 'valorisation' de mon mari, bref son indifférence. Je me sens transparente car il ne communique jamais, peut rester des jours à bouder, sans dire un mot. (...) Est-ce ça vivre en couple ? Je lui ai exprimé mes manques et mes attentes dans une lettre, lui ai demandé s'il ne m'aime plus et ce qu'il veut. Mes tentatives restent sans réponse, c'est le mutisme complet, il n'exprime ni ses sentiments, ni ses colères, ni ses projets, rien. Mes larmes, mes allusions à une séparation l'indiffèrent, comme le reste. Je ne vois pas comment le faire réagir, lui faire comprendre ma situation, que je vais devoir le quitter. Donnez-moi des conseils, je vous en prie. » Véronique (France)

Comme vous l'avez compris en parcourant mon site web, mon "créneau" est plutôt d'aider les couples à 'raccommoder' leur relation. Malheureusement, une relation est comme un beau jardin fleuri : si, durant de longues années, seules prévalent, d'un côté l'indifférence, le silence, l'indisponibilité, les bouderies et, de l'autre, la soif d'être aimée, reconnue, les frustrations et les manques, le beau jardin devient bientôt un terrain vague, envahi de ronces, d'orties, de détritus et de cailloux…
Quatre points sont à garder à l'esprit :
• Vous avez le droit absolu d'être heureuse et de voir vos attentes légitimes, rencontrées.
• Vous êtes seule, maîtresse de vos choix, donc de votre vie.
• Dans nos sociétés actuelles, si un couple ne dure pas toute une vie, eh bien, on s'en remet.
• Il est temps de penser enfin à vous, à votre épanouissement personnel et à votre bonheur !
Vous n'avez 'que' 25 ans de vie commune. Réalisez-vous que la moitié de votre vie est encore devant vous et dépend de vos choix ?? Des choix qui seront vraisemblablement plus réfléchis et plus avisés que celui que vous avez fait, il y a 25 ans, justement.
Si je me fie à votre description et comprends donc votre amertume, votre soif d'amour, de tendresse, de partages, je suis par contre déconcerté par votre apparente... absence de décision. Quand un des conjoints se montre, durant si longtemps, avec une telle constance, un aussi lamentable partenaire que vous le dépeignez, il me paraît normal et indispensable de rompre.
En dépit d'affirmations oiseuses 'Mais oui, je t'aime !' (???), il est évident que ce n'est pas le cas ; il est même très probable, malgré ses énergiques dénégations, que votre mari connaisse "quelqu'un d'autre".
À votre place, je consulterais un(e) avocat(e) expérimenté(e) et entamerais une procédure de séparation, – qui n'a que bien trop attendu. Votre mari devrait l'accueillir favorablement : le comportement qu'il affiche trahit en général le désir de retrouver sa liberté.
Quatre autres points à retenir également, – il conviendra de :
• songer concrètement à votre avenir, à votre droit au bonheur ;
• vous montrer déterminée, inflexible et persévérante ;
• vous tenir à vos choix et décisions ;
• ne pas vous laisser berner par d'éventuels engagements, vite oubliés, de "faire un effort".
N'imitez pas toutes ces femmes qui, même quand elles sont régulièrement battues, se laissent attendrir à longueur d'années par les fallacieuses 'promesses d'ivrogne' de leur partenaire !
En effet, si la nature-même de votre mari est d'être froid, muet, indifférent, boudeur, etc., comme vous le décrivez, tous vos efforts n'en feront jamais un homme tendre, rieur, aimant, chaleureux, attentif à vous valoriser, à vous surprendre, bref à vous rendre simplement, ENFIN heureuse.
Vous me demandiez des "conseils". J'ignore si ma réponse correspond à ce que vous espériez mais voilà : c'est la seule que peuvent inspirer le bon sens, la logique, l'expérience vécue et la lucidité.
Toutes les crises de couple reposent (fut-ce de façon fort inégale, bien sûr) sur quatre épaules. Donc, compléter votre information sur les multiples moyens de vivre une vie de couple harmonieuse, vous sera d'un grand profit : ainsi vous ne risquerez pas, lors de la prochaine rencontre que je vous souhaite, de vous laisser enfermer dans les mêmes pièges. Vous apprendrez à votre futur partenaire à communiquer chaque jour, à vous surprendre, à vous faire rire, à vous exprimer sa tendresse et ses compliments, à partager avec vous, bref à devenir ce délicieux complice dont vous rêvez – et vous le comblerez.
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Problème : « Je ne sens pas que mon 'tchum' est amoureux de moi. » Marie-Jeanne (Québec)

Dans votre situation, les quatre possibilités suivantes sont les plus habituelles :
• Soit vous avez des sensibilités différentes et il ne réalise peut-être pas que vous avez besoin de bien plus de marques de tendresse et d'intérêt que lui.
Solution ?
Lui expliquer calmement, sans lui en faire le reproche, ce que vous ressentez et votre souhait de plus de chaleur, de plus d'implication dans votre relation, de l'entendre dire 'Je t'aime, Marie-Jeanne !', 'Je suis bien avec toi !', …
• Soit, votre relation s'est construite surtout sur une attirance physique mutuelle, – ce qui ne dure qu'un temps… Et il a peut-être, lui aussi, diverses attentes, qu'il devrait vous expliquer.
Solution ?
Mieux communiquer : vous parler, beaucoup ; vous écouter, beaucoup ; partager, énormément pour apprendre à vous connaître. Ainsi vous saurez si votre relation est faite pour durer.
• Soit, il a peut-être fait une autre rencontre et il lui arrive à l'occasion de songer à d'autres beaux yeux, de croire que "l'herbe est plus verte dans le pré d'à-côté".
Solution ? Il vous doit d'être franc et de choisir : elle ou vous.
• Soit, il aime bien… faire l'amour avec vous mais ne souhaite pas vraiment s'engager : envisager une relation à long terme ou un mariage (!!) n'est pas ce qu'il recherche. Si vous lui avez donné l'impression de croire (ou d'espérer) qu'avec lui, c'est 'pour la vie' et qu'il ne vous aime pas autant que vous l'aimez, il redoute peut-être de se laisser passer "la corde au cou".
Solution ? Vous choisissez un moment où il vous semble détendu et reposé. Vous vous asseyez à ses côtés en lui offrant sa boisson préférée et, en souriant, vous lui demandez de vous parler en toute franchise, insistant sur le fait que vous ne lui demandez rien mais que vous voulez seulement savoir : pense-t-il oui ou non, à un avenir souriant à vous côtés ?
* Réponse A : oui ? O.k. Vous retournez à la solution du point 1, exprimer vos attentes.
* Réponse B : non ? O. k. Vous comprenez alors que les choses ne fonctionnent pas toujours comme on l'espère ; vous vous gardez bien de lui faire des reproches (toujours inutiles) ou de pleurer ! Au contraire, vous affichez un air plutôt indifférent, en disant : "Bien, maintenant la situation est claire, je sais à quoi m'en tenir." Et vous admettez l'évidence : une telle relation ne vous rendra jamais heureuse. Or, ce bonheur, vous y avez droit. Vous en tirez donc la conclusion :
• Je préfère être malheureuse avec lui que malheureuse toute seule ; donc je me résous à subir ma vie. Ou, dur mais 100 x plus efficace :
• "Dans ces conditions, nous resterons bons amis mais il vaut mieux se quitter."
Une dernière suggestion : pour éviter, lors d'une prochaine rencontre, de faire un choix un peu rapide et de retomber dans les pièges habituels qui font souffrir tant de jeunes femmes, il vous serait hautement profitable de compléter votre information sur les divers aspects de la vie en couple, avant, pendant (et même… après.)
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